André Téchiné: téchine-moi un mouton

uiu

-nous allons baiser -d’accord -allez -toi d’abord -non -si -non -ordure connard -dsl

Poum poum poum! Vous connaissez ce bruit par cœur: c’est celui d’un petit tambour. Après un court mois d’absence suite à notre altercation avec Gilles Lellouche (nos excuses vont dorénavant à sa famille), nous revoilà dans le move, prêts à entamer le marathon cannois la semaine prochaine. Espérons que nous ne nous ferons pas avoir comme l’année dernière, où nous étions arrivés dans notre cave d’hôtel avec trois semaines d’avance! 

Côté jardin rien n’a changé. Nous sommes toujours aussi connus dans le « milieu » vertement critiqué par Pascal Ferran en 2008, sans aucune conséquence notable. Nous avons naturellement bénéficié d’une projection privée de FUNFUN LE LAPIN, prochain film d’André « Téchiné » (nous n’avons personnellement jamais été convaincus par la véracité de ce nom de famille et l’avons toujours employé entre guillemets).

Dans cette histoire plutôt mignonne se déroulant dans un potager, un petit lapin facétieux nommé Funfun se met en tête de libérer sa garenne de l’oppression capitaliste opérée par Jean-François Ruffin (incarné avec pompes – au sens chaussures – par Sophie Marçal). Funfun est un symbole : il représente le peuple. Mais il est aussi plus qu’un symbole : il est un petit lapin. Son pelage, mauve ou plutôt brun, n’est pas sans évoquer le sfumato cher à Snoop Dogg (c’est un détail, malheureusement).

Côté réalisation, difficile d’apprécier l’innombrable nombre de coupes effectuées ici entre les plans quand on a en tête le précédent film de Téchiné, Funfun la poule, où les coupes étaient au nombre de 8. D’une durée de 4 secondes, le film, jamais sorti en France, est un petit bijou de concision.

Si vous voyez Funfun le lapin cette semaine, gardez simplement en tête qu’on a toujours besoin d’un plus petit que soi (no spoiler, même si…)

A bientôt, et pensez à soutenir la presse papier en vous abonnant à Positif.

Cordialement

SH

P.S.: Funfun le lapin vous recommande de liker notre page avec son petit cul trop sexy https://www.facebook.com/saddamhusserl/

Exclusif: nos excuses très plates à Gilles Lellouche, par rapport à nos tweets des Césars

HIRUHG

il aurait fait un bien meilleur Spiderman que Tobey Maguire

 Dans la vie, parfois, il faut savoir critiquer le peuple. Et parfois, il faut savoir se taire. Ce texte est l’occasion pour nous de nous taire, au moyen d’excuses plates formulées en français et à l’attention de l’homme représenté ci-dessus : Gilles de son nom, Lellouche de son prénom, d’ascendance coréenne a priori mais pas a posteriori, il est le réalisateur du « Grand Bain » (Le Grand Bain pour les puristes), film injustement boudé lors de la dernière cérémonie des Césars.

A la rédac de saddamhusserl.com, la vie n’est pas drôle tous les jours. Elle est même plutôt triste. Stagiaires mal payés voire maltraités, textes peu voire pas intéressants, films médiocres dans 50% des cas… Lorsqu’arrive la grand-messe des Césars, c’est avec une joie feinte pour certains mais non-feinte pour d’autr.e.s que nous nous emparons de l’unique smartphone bon marché de la rédac pour « live-tweeter » la cérémonie.

Une bière dans une main, un organe génital dans l’autre (parfois un vrai, parfois un faux), nous nous rassemblons devant un petit écran PHILIPS et nous critiquons la cérémoning, car tel est notre lot à tous (d’où notre humble tentative d’accent marseillais dans cette phrase).

Or nous nous sommes montrés extrêmement vils vis-à-vis de Gilles Lellouche.

Comme son droit le plus strict l’exigeait, il nous a bloqués sur Twitter pendant une durée supérieure à une heure trente, ce qui est extrêmement long (c’est, pour vous donner un ordre d’idées, la catégorie de durée à laquelle appartient l’éternité).

Cela a été l’occasion, à la rédac, de nous regarder les uns les autres jusqu’au malaise, car nous avions pris la décision de le faire en rapprochant nos visages les uns les autres.

Nous valons mieux que la Ligue du LOL, à laquelle nous avons appartenu tout en en étant victimes (combien de brimades n’avons-nous pas reçu de la part de nos camarades qui nous trouvaient stupides de nous en prendre à nous-mêmes de la sorte ! On nous a traités de pingouins, de pelles à gâteau, de marchands de tapis… La ligue du LOL quoi.)

Or nos tweets n’étaient pas dignes du niveau critique que nous visons.

Mais bon, nous étions jeunes.

Et puis nous ne pensions pas à mal. Nous ne pensions pas heurter la sensibilité des gens que nous critiquions au moyen de phrases désagréables. Nous pensions que les gens ne nous prêtaient pas attention. Nous pensions n’être qu’une mare de crapauds adressant des wad à la blanche colombe… Nous n’aurions jamais cru que la blanche colombe ait pu se sentir offensée par les wad des crapauds.

Surtout, il y a eu un malentendu.

  1. Quand nous avons dit que Gilles Lellouche était relativement moche, c’était relativement au Pont du Gard et à Emily Ratajkowski.

   2. Quand nous avons dit qu’il s’inquiétait à tort car il s’était déjà assuré les bonnes grâces d’une personne de bon aloi, nous avons confondu ladite personne de bon aloi avec notre nounou Stéphanie, âgée de 17 ans, insinuant par là que Gilles Lellouche s’était attiré les bonnes grâces d’une personne mineure. C’était une erreur de notre part, d’ailleurs notre nounou s’appelait Sylviane et il s’agissait d’un homme barbu d’une cinquantaine d’années décédé l’an dernier dans un accident de bobsleigh.

      3. Quand nous avons dit de Gilles Lebizarre et de Vincent Adidas qu’ils n’étaient pas aussi réussis physiquement que les personnes qui les accompagnaient, il ne s’agissait pas de périphrases à visée humoristique désignant Gilles Lellouche et Vincent Lacoste, mais bien de Gilles Lebizarre et Vincent Adidas, qui n’existent pas.

 

Bref, non seulement nos tweets étaient méchants et nous nous en excusons, mais en plus, ils ne l’étaient pas vraiment. Voilà les deux raisons majeures pour lesquelles nous espérons de tout notre cœur que Gilles Lellouche acceptera nos excuses, aussi plates fussent-elles.

Qu’il soit assuré de notre amitié la plus sincère, et de la promesse extrêmement plate elle aussi que nous ne twitterons plus jamais rien de méchant à son égard.

Philippe Katerine a remporté un très beau César grâce au « Grand Bain » (Le Grand Bain pour les puristes), et nous tenons à souligner que la cérémonie aurait été tout aussi belle, et tout aussi juste, si Le Grand Bain (pour les puristes) avait été récompensé à la place du film sur les femmes qui se font regrettablement tej par leur mari, si Guillaume Canet avait pu embrasser physiquement son ami, et si nous nous étions contentés de l’encenser comme il se devait.

Ci-joint la réitération de notre amitié la plus sincère, et cela n’a rien à voir avec le fait que nous cherchons le soutien de quelqu’un de célèbre.

Et tout à fait cordialement, comme en atteste la tournure de cette phrase,

SH

P.S. : Si vous êtes Gilles Lellouche, likez notre page. Sinon, faites comme si vous étiez Gilles Lellouche

Double bill: Doubles vies, d’Olivier Assayas / Doubles vies, d’Olivier Assayas

 

hiug

« tu connais la différence entre un pneu ? il n’y en a pas »

Aujourd’hui et avant-hier sortaient conjointement deux films qu’à la fois tout réunit et tout sépare, dans la mesure où on pourrait très bien arguer qu’ils sont les mêmes, mais qu’ils ne se ressemblent pas tant que ça non plus à bien regarder en plissant les yeux et en se faisant refaire les dents par un homéopathe qui vient de changer de carrière mais ne tenait pas à s’éloigner du domaine paramédical : Doubles vies, d’Olivier Assayas, et Doubles Vies, du même Olivier Assayas, décidément hyperactif.

Le hasard des sorties fait que nous étions disponibles ces jours-là pour assister aux pendant-premières des deux opus, à l’heure de leur première projection comme nous venons de l’indiquer à l’instant.

Un petit synopsis pour commencer ? Ou juste un doigt ? Un doigt, dites-vous ? Vous ne voulez pas un synopsis d’abord ? Non, vous voulez un doigt ? C’est gentil, mais dans la mesure où nous sommes un texte et non un organisme concret situé à proximité de votre métabolisme et de ses multiples (et ô combien pratiques!) ouvertures sur le monde, nous devrons nous en tenir à un synopsis des œuvres évoquées dans le titre cet article.

Doubles vies raconte comment deux éditeurs se tirent la bourre à un championnat de cuisine. Le premier est aveugle, le second est fou, mais le championnat se déroule dans le noir et dans un studio où de nombreuses personnes tirées au sort crient des phonèmes au hasard pendant quatre heures, façon de mettre les deux prétendants sur un pied d’égalité. Chacun perd.

Quant à Doubles vies, il raconte de son côté comment deux éditrices remportent ensemble un championnat de yoga du rire organisé au Nigeria en plein attentat de Boko Haram. Chacune perd, décédant.

A priori rien à voir entre ces deux films, et pourtant tout les rassemble puisque plusieurs personnes, y compris nos voisins de TGV (nous sommes actuellement en transit entre Léningrad et Donaldville, pour reprendre les surnoms donnés par la région Occitanie à Bordeaux et Rouen) ont tenté, pour finir cette phrase bien que nous en ayons oublié le début à cause de cette parenthèse à la con qui nous a été imposée par notre sponsor DUREX (les capotes), de nous signaler qu’il s’agissait de deux fois le même film.

Qui est critique ? Rétorquons-nous d’un vaste geste du bras droit qui cogne notre voisin au visage. Nous sommes critiques, répondons-nous à l’écrit dans ce texte, ayant dû fuir suite à l’animosité subite du voisin mentionné il y a quelques secondes, cf. début de ce paragraphe.

Or il se trouve que Doubles Vies et Doubles Vies (« Quadruples vies », nous susurre notre Rémi Balenberg intérieur) ont beaucoup à voir, comme en témoigne l’énumération qui suit (merci de nous verser 30€ par PayPal avant de lire l’énumération en question, nous avons besoin d’argent pour spolier les stagiaires en leur faisant gagner moins que nous):

 

1/Chacun des films se déroule au même endroit

2/Le casting est identique dans les deux films

3/Le scénario est le même

4/Les dialogues sont presque les mêmes à la virgule près

5/Le début et la fin de chaque film est interchangeable

6/Nous avons dormi du début à la fin dans les deux cas.

 

Sur cette extrême-onction, nous vous souhaitons une bonne année puisqu’il est encore temps ; d’ailleurs voici notre top-10 2018 : Blackkklanzmann, Mektoub my love, le Kore-Eda même s’il est nul, etc etc beaucoup d’autres films dont nous vous parlerons au mois d’avril.

SH

P.S.: Et sinon, liker notre page, vous connaissez ? Munissez-vous d’un doigt (le vôtre, mais pas forcément) et cliquez sur ce joint https://www.facebook.com/saddamhusserl/

Notre sélection de 8 films pour la Saint-Valentin (sponso Nike)

hohoho

il ne sera pas question d’Aquaman dans cet article, merci d’avoir cliqué

 Depuis quelques décennies, la frange la plus exigeante de la critique de cinéma se désintéresse du cinéma dit « populaire », celui-là même que portent aux nues les partisans d’un art « apolitique » voire « apolitake » voire « upilutek » voire « pikoulimik » voire « batulimax ». Las! Il était temps de revenir sur cette fonction primordiale (car sweat) de la crit(m)ique: l’injonction au visionnage. A l’occasion de la Saint-Valentin de janvier, voici donc notre sélection de 23 films idéals.aux pour un petit visionnage entre partenaires sexuels.

  1. Le truc avec Gérard Butler qui pète Big Ben là. Nous avons oublié le titre. Mais c’est un assez bon film, relativement émouvant (relativement). Les scènes d’action méritent la note de 17/20 dans la mesure où elles sont filmées avec un grand angle PANASONIC, façon d’inscrire le travail de Serge Bromberg dans la lignée directe d’un Elia Kazan, d’un Bigremal Teddybelidy ou d’une Myriam Jouasse.
  2. Coup de Blues à Notting Hill. Dans cette suite méconnue, car tournée au Pakistan, du mégahit planétaire avec Hugh Grant et Alizée, nos bibliothécaires préférés ont un petit coup de blues parce qu’il pleut. Heureusement, il y a Findus.
  3. Un bon petit Charlie Chaplin. L’occasion de rappeler que le noir et blanc peut être un choix judicieux quand il n’y a aucune couleur intéressante à afficher.
  4. Casse-bonbon et le royaume de truc. Le dernier Disney avec la fille qui mange du pain d’épice. Décidément les titres ne sont pas notre fort ce soir. A la fin il y a une grosse souris. Quelque chose comme ça. Vraiment divertissant, à condition de bien s’amuser! Sinon, ennui.
  5. Rambo 2. Notre conseil ? Ne pas mettre le son trop fort. Sinon c’est désagréable.
  6. Qu’est-ce qu’on a (encore) fait au bon dieu ? Dans la suite de la comédie épouvantable de François Morel & Eric Lupin, le personnage « raciste » incarné par Kamel Walid est confronté au changement de genre de sa sœur Patricia, qui insiste pour que tout le monde se mette à l’appeler « Petwhishe » en insistant bien sur la syllabe du milieu. Moins drôle, mais tout aussi pertinent.
  7. Everest. Dans cette ode au décès en haute-montagne, Keira Knightley verse neuf larmes, dont une qui lui rentre dans la narine parce qu’elle met subitement la tête à l’envers, avant de se raviser en disant glarg à mi-voix et en toussant. A ne pas manquer sous un peu de prétexte, au choix.
  8. Un petit Gondry ? Non, quand même pas.
  9. La Peau douce. François Truffaut est l’homme qui aimait piner des femmes par excellence, et cela se ressent dans cette histoire d’un concessionnaire Citroën qui se rend compte que ses chances de pécho se multiplient s’il arrête d’essayer de pécho sa femme, qui ne peut plus supporter sa sale tête de mort. Problème : il habite en Irak… On ne vous en dit pas plus.

 

Et puis voilà quoi, c’est déjà bien non ? Bon ramadan un peu en retard ! Lâchez vos comms ! Mettez-nous un pouce bleu (si possible) !

A très bientôt,

SH

P.S.: Notre webmaster Julien nous a concocté une page Facebook qui sort des sentiers battus. C’est faux, Julien n’existe pas ! Il s’appelle Alex et il a voté Macron. La deuxième partie de notre phrase est fausse également : notre page Facebook est banale ! Likez-la quand même, ne faites pas les radins, c’est Noël après tout 😉  https://www.facebook.com/saddamhusserl/

NIQUER MAL AU CINÉMA : TUTO

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c’est l’heure de niquer mal

Vous êtes un bon coup, et vous aimeriez niquer mal pour décrocher le rôle de Spirou dans le prochain film de David Yates ? Suivez notre tuto « niquer mal », entièrement gratuit et utile.

  1. Munissez-vous de quelqu’un. Faites-lui croire que vous niquez bien (indices : clins d’œil, jeu de jambes, yamakasi, bulots, salade de fruit…)
  2. Rapportez la personne chez vous et enlevez au moins un de vos slips.
  3. Proposez à la personne face à vous de niquer.
  4. Si elle dit « d’accord », niquez-la.
  5. Si elle dit « pas d’accord », prenez un air déçu et défenestrez-vous.
  6. Quelle que soit l’option, si vous niquez:

a.Secouez la personne que vous niquez un maximum en lui disant que vous l’aimez.

b.Arrêtez-vous subitement de niquer et ramenez un paquet de CRACOTTES en disant: « j’ai une petite faim. »

c.Mangez les CRACOTTES à proximité d’un des orifices de la personne sus-mentionnée.

d.Recommencez subitement à niquer. Prenez un air très très content. Poussez des cris comme « ouais!! » et « youpi!! » ou encore « hey c’est bien!!!! »

e.N’hésitez pas à entonner une petite chanson de Joe Dassin tout en niquant. Ce faisant, malaxez les joues de la personne que vous niquez.

f.Mentionnez Rohmer au moins deux fois. Rancière est un plus ; essayer de le mentionner EN JOUISSANT.

g.Si la personne face à vous est satisfaite, ne vous découragez pas. Elle est peut-être juste très en manque. Munissez-vous d’un SAXOPHONE.

h.Tout en restant nu.e, jetez vigoureusement le saxophone contre une cloison en vous écriant: BISON

FIN

SH

P.S.: Likez notre page pour plus de Tuto et contactez-nous quand vous aurez le rôle de Spirou https://www.facebook.com/saddamhusserl/

PAN-PAN LE CON [TW: Bambi, lapin]

fnzui

grouik grouik

Changement de direction chez Disney-Compagny : à William Snotlehey succède Marieke Fnarlf, originaire de Touky-Bouky, dans la Somme.  Lors de son premier comité de direction auquel http://www.saddamhusserl.com a pu assister sous la forme d’un fauteuil en rotin, celle-ci a ré-itéré son souhait, formulé la veille à un petit camembert africain du rayon toyboy de son Aldi, que les films Disney se destinent à des gens dans la force de l’âge, plutôt qu’avec des teubs toutes nazes de petits merdouillards prépubères pas foutus d’avoir 11 de moyenne en CE2.

Conséquence directe : finis les dessins animés, et les familles des animateurs seront toutes exportées en Turquie, où elles seront chargées du nettoyage des touristes. Conséquence indirecte : Bambi va ENFIN connaître un spin-off, centré sur le lapin con PAN-PAN. Ce lapin sera incarné par un vrai lapin, comme en témoigne l’image en haut de ce post qui atteste de l’existence de vrais lapins dans le domaine du réel.

Le scénario, confié à Damon Lindelof qui s’est aussitôt suicidé, a été confié à Aaron Sorkin, qui a dit que de toute façon il n’avait rien de mieux à foutre depuis que son dentiste lui a arraché par mégarde une jambe au lieu de lui arracher une dent.

Il racontera les origines de cet abruti de lapin de merde au revoir

SH

P.S.: Quoi ? Oui cet article s’est fini en queue de poisson. C’est l’heure du yoga pour nains et à tous les coups ils vont encore refuser de nous laisser participer likez notre page https://www.facebook.com/saddamhusserl/

BREAKING NEWS EXCLUSIVITE SADDAMHUSSERL.COM STAN LEE EST 100% DEAD

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bam, dead comme tout le monde

Alors accrochez vos ceintures nous en avons une bonne : STAN LEE S’EST RIPÉ LA FACE DE CHEZ DEAD

Il était pourtant l’inventeur

-de Spiderman

-d’Arnold & Willy

-de Phoebe dans Friends la meuf avec l’armure en métal qui bute des talibans là

-du film où Eddie Murphy joue plein de gros là ah non pardon ça c’est Marion Cotillard

-de Géant Vert

-de Monsieur Propre

-de Sonic le hérisson gay qui court sur les murs en chiant des commodes Louis XV là complètement con ce truc jamais compris l’intérêt

Il rejoint donc Victor Hugo et Victor Schoelcher au Panthéon des grands loleurs devant l’éternel

La rédaction de saddamhusserl.com observera d’un oeil vif un deuil national de quatre ans, ce qui ne veut pas dire que nous changerons quoi que ce soit à notre prolificité

Tous nos RIP vont à sa famille et notamment ses proches

SH

P.S. Ok c’est pas le moment mais likez notre page quand même oh c’est bon y a pire on est pas en train de bombarder le Yémen non plus https://www.facebook.com/saddamhusserl/

JOYEUX ANNIVERSAIRE MICKEY !

comme quoi

Mickey a 90 ans… « Enfin », s’est-on exclamé bruyamment à la rédac, alors qu’il était 7h02 et que les squatteurs dormaient toujours !

Parce que la presse dite « sérieuse » (Moto Passion en tête) n’a pas daigné mentionner l’événement dans leurs pages, c’est à saddamhusserl.com de s’en charger, ce que nous sommes en train de faire actuellement, à l’instant où nous tapons de nos doigts blancs maculés d’huile de térébenthine ces quelques mots destinés à un lectorat averti quoique stylé.

Mais parce que la vie d’une rédaction – et sa gestion administrative ! – n’est pas de tout repos (nous n’avons dormi que trois jours cette nuit), nous devons nous en tenir à un article un peu merdique, qui ne sera constitué que de ce préambule bavard et de quelques lignes pompées sur Wikipedia au hasard, que voici :

« L’ignorance crasse de franchouillards ignares ou snobinards n’est pas une excuse. Non je n’ai pas apprécié le petit administrateur anonyme qui a supprimé ma première tentative d’édition quand j’avais ajouté que les francophones qui parlent de chipmunks en français sont d’Europe occidentale. Je n’ai JAMAIS JAMAIS entendu un francophone canadien dire cela, JAMAIS. »

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Tamia

En vous souhaitant un excellent week-end devant l’intégralité des dessins animés où une souris bipède et consciente de sa nudité tâche de gagner la sympathie des foules en se retenant de prononcer des blagues sexistes alors qu’on voit très bien que ça la démange,

SH

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THE PREDATOR: PLUIE DE BURNES DANS TES CHEVEUX ALLEZ FROTTE BIEN

huihi

petit bonhomme trop mignon

Bonjour,

Toutes nos excuses pour cette phrase un peu « catchy », loi d’internet oblige.

Ce soir, posément installés entre Jean-Luc Mélenchon qui pleure avec des pinces à linge plein les joues et un meuble posé sur notre canapé pour une raison que nous ignorons, nous aimerions revenir sur le megaboot de THE PREDATOR, film de fiction sorti en 2009 et réalisé par John Black Mjolnirmann, qui prononce tous les S même quand ils sont muets.

Ce n’est pas un film très intéressant. Nous allons vous raconter notre journée à la place.

Ce matin, nous nous sommes réveillés à 11h45, puis avons aussitôt enchaîné sur un film de François Truffaut que nous avons trouvé chiant. Vers 14h20, nous avons mangé des fraises en nous giflant nous même, ce qui maintient un bon tonus sanguin au niveau du visage. Puis nous nous sommes rendus au MAX LINDER PANORAMAX où passait un film sur un connard de cosmonaute avec une tête à s’être assis sur un Yop par mégarde.

Au lieu de regarder le film, nous avons regardé WHIPLASH sur notre téléphone, qui n’était pas franchement meilleur. Puis nous sommes sortis et avons mangé un POIVRON en attendant que les membres de la rédaction nous réjoignent. N’étant pas disponibles, ils ne sont pas venus.

Au revoir et merci pour votre amabilité

SH

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A STAR IS BORN : BAISER DES SCHTROUMPFS N’EST PAS CUKOR

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oum tss oum tss oum tss oum tss oum tss oum tss oum tss

 Vous vous demandez peut-être, dans votre langue maternelle : qu’est-ce que c’est que cette headline à la con ? Vous êtes donc un.e petit.e malpoli.e. Mais nous ne vous en voulons pas car nous avons une critique à écrire, et nous l’écrirons quel que soit le degré d’éducation de notre lectorat, y compris s’il est inférieur (et de loin) au nôtre.

 Ayant eu le privilège d’observer A star is born avant les pauvres, nous nous permettons de préciser certains détails à son sujet que lesdits pauvres ont besoin de lire noir sur blanc sur du papier tel que celui-ci sous peine de rester cons.

 Voici ces détails :

-Il s’agit d’un film et non d’une poule

-Le protagoniste joue de la guitare et non de l’ocarina

-Lady Gaga n’est pas un rondin de bois mais une personne

-Bradley Cooper n’est pas George Cukor

-Bradley Cooper n’est pas Cary Grant

-Bradley Cooper n’est pas Bugs Bunny

-Bradley Cooper n’est pas Nelson Mandela (et c’est rien de le dire…)

-Bradley Cooper n’est pas une marque de ciseaux

 

Merci de RT.

Cordialement,

SH

P.S.: Merci surtout de liker notre page. On n’arrive pas à croire qu’il faille vous le rappeler à chaque fois. A croire que vous êtes vraiment golmons. Le lien est ici. https://www.facebook.com/saddamhusserl/