Lettre de soutien à Vincent Jaury

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Leur palmarès ? 

Depuis ce matin, Vincent Jaury, rédacteur en chef du magazine TRANSFUGE, où nous avons longtemps travaillé en tant que gogo dancers, est victime d’une kabbale injuste lancée par son ennemi de toujours : Didier Deschamps.

Le sélectionneur de l’équipe de France 98, non-content de s’être fait refaire la mâchoire et de ressembler dorénavant à Maureen Door, à tel point qu’il envisage de changer de sexe, se sert en effet de sa notoriété pour diriger ses fanzouzes, les « Deschampettes » (inventrices de la poudre qu’on sniffe régulièrement dans le milieu critique) sur Monsieur Jaury, qui n’a pourtant rien d’un imbécile, d’un con, d’un fdp, d’un sac à merde, d’une tête de bite ou d’une cagette de culs.

Lauréat en 2012 d’un M2 en communication, Vincent Jaury naît en 1958 au lendemain des bombardements d’Hiroshima dans une petite ferme d’Ardèche où il se met à la lecture avant même d’avoir appris à faire* sur le pot.

Féministe, il est la touche de subtilité qui manque au moment et envisage un moment de changer de sexe également avant de se raviser, « par solidarité avec Roman Polanski », qui, lui, n’aura jamais le privilège de devenir transgenre, faute de moyens (exclu saddamhusserl.com: Roman Polanski est relativement pauvre suite à un avocat malhonnête qui lui a fait signer une décharge l’obligeant à lui verser 90% de ses recettes jusqu’à sa mort : Eric Dupont-Moretti pour ne pas le nommer)

En un mot comme en 100 :

– #meetoo, comme le dit Vincent Jaury, est un mouvement nécessaire, mais, comme tous les mouvements nécessaires, on ne va pas le faire en permanence. Lever le bras droit pour faire coucou est un mouvement nécessaire, mais il convient de ne pas l’effectuer dans un cinéma, par exemple, à un enterrement ou lors d’un interrogatoire de police. Les femmes devraient se le tenir pour dit.

SH

*mer sa gueule

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