Tu quoque, JOHN LASSETER*

* Alors comme ça on a les mains baladeuses, John Lasseter

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on aurait dû s’en douter avec un titre pareil… (image trouvée sur Vikidia)

 Le monde de l’enfance a connu un séisme meurtrier hier soir avec l’annonce du comportement au-delà de malpoli de John Lasseter, devenu PDG du studio aux grandes oreilles dans la foulée de sa fondation du studio aux oreilles de taille normale.

 De nombreuses employées racontent avoir subi la pression de ses gros doigts boudinés à des endroits non-publics de leur anatomie et si, comme l’a écrit Einstein, rien ne se touche vraiment (dans la mesure où les atomes se repoussent les uns les autres et créent la sensation du contact plus que le contact réel), le scandale a éclaté comme une coccinelle sous la chaussure d’un gastro-entérologue macroniste.

 Mais à saddamhusserl.com, nous ne sommes pas surpris. Nous avions déjà écrit à plusieurs reprises (en 1965, en 1985, en 1945, en 1958, en 1954 ainsi qu’en 1683) que les « productions Pixar » étaient douteuses. Dans la mesure où nous n’étions pas nés aux dates sus-mentionnées, personne n’a prêté attention à nos écrits alors immatériels ; mais que cela ne nous empêche pas aujourd’hui de résumer notre pensée.

1. Toy Story: Euh, personne n’a remarqué la SCÈNE où ils BAISENT?????

2. Fourmiz: Ce film n’est pas de John Lasseter.

3. Toy Story 2: euh… traduite en français courant, la chanson de Jessie la cow-girl dit quand même: « je suis une femme, donc je suis inférieure aux hommes ; je dois accepter mon statut de dominée car celui-ci se trouve inscrit dans la Nature depuis la préhistoire ; ma place est aux fourneaux car il m’incombe d’assurer la perpétuation de l’espèce, ce que risquerait de compromettre une carrière professionnelle où je me consacrerais à autre chose qu’à l’entretien de mon utérus et de son environnement proche. » Et personne n’a rien remarqué à l’époque………… mais bon

4. Cars: Encore une fois, énorme scène de BAISE à la 72e minute (entre le van Volkswagen et la Renault Zoé), mais bien-sûr tout le monde a fait la sourde-oreille alors même qu’il s’agissait d’une scène très bruyante (même si elle aurait été plus bruyante s’il s’était agi d’une Citroën Picasso plutôt que d’une Renault Zoé au moteur particulièrement silencieux).

5. Cars 2: Une licence de L2 en cinéma à Paris-1 nous permet d’affirmer qu’en prenant la première lettre de chaque ligne de dialogue entre la 8e et la 92e minute, cela forme la phrase suivante: « JPOHZNGLASSPEGHTZERIPSFTOUGCHINGPLMF MEG DURDAPING FHEHYTHISZFZGIHLRMA PLERAESEYE ATGRESEZRND HELP ». Eh oui

6.Tarzan et le secret de la négligence : Ce film n’est pas de John Lasseter.

SH

P.S.Vous avez les moyens technologiques et le background psycho-social et culturel pour liker notre page, alors pourquoi vous en priver? Lien ici: https://www.facebook.com/saddamhusserl/

 

 

Notre visite de la belle et émouvante expo GOSCINNY à la Cinémathèque de France*

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*article sponsorisé

« Pogragra Poganitouly, il est pauvre, mais c’est mon ami. » (Sagesse populaire)

 La Cinémathèque s’est à peine retournée depuis ses récents émois sexuels (Boltanski, Trousseau, Bernstein) que les femmes qui en constituent le sable non-mouvant se remettent déjà à turbiner comme de braves taupes : c’est qu’il faut désormais vendre un maximum de tickets et capitaliser autant que faire se peut sur la popularité du Chinois aux Moustaches d’Or, nous avons nommé: Claire Cheval, présentatrice du Jounral (sic) de 16h sur TPMP2 de 1985 à 1472.

 Qui est Astérplisque (plus connu sous le nom abâtardi pour séduire les foules de « Astérix »)? Qui est Oberplixe (plus connu sous le nom fdptardi pour séduire les foules de « Obélnixe »)? Qui est PANORAMABERG (plus connu sous le nom désalinisé de John Cage)?

A toutes ces questions, cette exposition existentielle ne répond pas, trop occupée qu’elle est à engranger du pognon. Ah ça, ce n’est pas le communisme qui l’étouffe, le Dominique Benning! Ce n’est pas grave, car ce post est sponsorisé par lui (à hauteur de 5€), et nous sommes donc tenus de n’en dire que du #bien.

1- La moquette est soyeuse et confortable: si l’ennui vous guette, n’hésitez pas à vous allonger dans le passage.

2- Les vitrines sont propres: si vous les salissez en jouissant dessus, ce n’est pas bien!

3- Le personnel est aussi accueillant qu’exploité: c’est-à-dire relativement peu.

Quant au monde dudit « Derzo » et de ce gosse Kino qu’on appelle « Gosse Kini » (cette blague nous a été imposée par un journaliste de Télérama lors d’un rencontre menaçante dans un lounge du quartier Saint Vincent de Pornic), nous n’en apprendrons jamais autant qu’en collant notre visage aux écouteurs qui laissent trémuler leurs voix à la fin de l’exposition, comme à travers les siècles d’empâtement que nous ont imposé les colons déguisés en mulets qui se firent passer pendant 384 ans pour la dynastie carolingienne. Qui dit pouffle ? A ce moment-là, tout le monde. Et ce n’est pas la moindre des surprises de cette exposition à ne pas rater (entrée gratuite pour les gens absents de moins douze à 108 ans).

SH

P.S.Franchement ça vaut le coup de liker notre page https://www.facebook.com/saddamhusserl/, mais n’oubliez pas non plus de liker celle de la Cinémathèque de France, l’une des plus malicieuses de l’histoire d’Internet 😉 https://www.facebook.com/cinemathequefr/?hc_ref=ARQ6lNZ8f7Gin1nagqBchJyo3Ng5kFDu5y-Eo7l6FBDGGNGZ_clQKCqNXzOCja3_p0g&fref=nf