Ce qui nous a choqués en 2016

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fernand bizarre²

2016 était une année très mal élevée, un peu comme ces enfants qui dans la rue se mettent à courir quand on s’approche d’eux en leur proposant des prêts TEG à 8%. De multiples gens sont décédés, de manières multiples…… etc, et, à part l’obtention du bac par Leonard DiCaprio devant une foule lambda en juillet 908, il ne s’est pas vraiment passé quoi que ce soit de réjouissant. Pour nous aider à mieux digérer la pilule graisseuse des douze mois écoulés comme une goutte d’acide sulfurique fuyant le pénis de Clint Eastwood, voici notre top-12 de ce qui nous aura le plus choqués en 2016.

  1. Beyoncé Cabrel en pull jaune dans un restaurant narzi
  2. Le 82-6 de Manuel Swing
  3. Les animaux décédant sans dire merci, même dans leur langage, alors qu’ils bénéficiaient d’une possibilité de prostituées commises d’office dont ils n’ont pas formulé la demande (la faute leur incombe donc)
  4. Le chanteur Julien Doré interdit de prestation aux commémorations du 8e anniversaire de sa mère
  5. Le juge Bolloré et son hystérotomie ratée sur son propre crâne en direct sur W9
  6. Cyril Hanouna dit « Le Russe » et ses petits déhanchements mutins
  7. La façon dont Nagui a fait un petit « shimmy-shimmy-shake » discret sur le plateau de « Des paroles et des actes » présenté par Philippe IV le Bel
  8. Niquer des fous
  9. David Bowie/Tristane Banon
  10. La vidéo de ce chaton massacrant des otages palestiniens dans la dernière vidéo de Norman McBenLaren

Merci pour tout, merci à vous, merci à nous surtout

Des baisers

SH

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Notre top-11* 2016 (*10+1)

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Macaulay Culkin n’a plus qu’à bien se tenir!!

Bonjour, et joyeux Noël peut-être! Le Père sus-mentionné a déposé sous notre hotte à sapin de multiples cadeaux, dont le top que voici et dont vous vous délecterez une fois terminée la lecture de cette phrase laborieuse.

  1. ELLE, de Paul VERHOEVEN

Pour la cécité de ses deux beurettes

2.

Parce qu’on avait pas joui si fort depuis longtemps

3. THE NEON DEMON

Parce que nul autre que Ron HOWARD ne sait nous procurer un tel smoothie visuel

4. AQUARIUS

Parce que c’est le premier film brésilien que nous avons vu de notre vie

5. TONI ERDMANN

Parce qu’il ne faut pas oublier que les femmes constituent 59% de l’humanité (trans compris)

6. LE CLIENT

Parce qu’Ashgar Baghdadi en profite pour dénoncer le régime iranien, qui n’est pas vraiment une démocratie.

6bis. ZOOTOPIPE

Même raison

7. 2001, ODYSSEE DE L’ESPACE

Parce que nous l’avons revu en juin et que rien n’égale encore ce chef-d’oeuvre

8. L’ELECTION DE FRANCOIS FILLON

Parce que c’est un beau coup de théâtre digne des plus grandes séries américaines.

9. SULLY

De Clint « Petitprodigestwood » 😉 (1h54)

10. Bonne année!

SH

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Rogue One par Thomas Sotinel: vite, une réponse toute faite !

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les soldats de l’empire = l’impérialisme américain…

Bonjour Monsieur Sottinel, 

Vous ne nous connaissez pas et pourtant nous constituons un panel de jeunes critique-e-s dynamiques et talentueux particulièrement actifs sur les réseaux sociaux (+190 abonnés Twitter, pas loin de 200 likes Facebook) ET dans le monde réel (Festivals de Pantin, La Haye, et les Arcs d’où nous vous écrivons).

Nous sommes plutôt axés à droite, mais cela ne vous regarde pas. En découvrant votre critique de « Star Wars: Rogue One: A Star Wars Story » avec notre « jus » du matin, et la kabbale déclenchée en votre endroit par les tenants du grand manège journalistique, nous avons considéré qu’il était de notre ressort de « monter au créneau », comme disait Serge Daney.

 Nous vous proposons ici un étayage de votre texte, pour le rendre plus fort face aux assauts de vos détracteurs.

 Comme des poutres glissées dans votre sommeil sous le revêtement de votre édifice, nous consoliderons votre propos et l’éclairerons si besoin est. N’hésitez pas à forcer l’évidence en nous contactant pour nous signaler tout manquement à notre programme offre. 😉

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1. « La critique qui établira pour de bon la valeur de Rogue One, A Star Wars Story, paraîtra dans le rapport annuel du conglomérat Disney. »

En effet, les critiques qui disent/pensent du bien d’un film n’ayant nul besoin d’être défendu pour rapporter de l’argent devraient se poser des questions morales à ce sujet. Ne sont-ils pas semblables aux banques qui renflouent le FMI au détriment du RSA? N’est-ce pas là la plus limpide des évidences?

2. « On saura alors si la stratégie adoptée par la firme de Burbank pour rentabiliser les quelque 4 milliards de dollars (3,75 milliards d’euros) dépensés lors de l’achat de Lucasfilm a été payante. »

Oui, Disney (que vous évoquez à mot couverts, pour ne pas vous faire importuner par les innombrables sbires de la Souris Aux Grandes Oreilles Noires, à l’aide d’une périphrase subtile et délicate comme un baiser dans le cou) est une industrie. On ne le répétera jamais assez. En tant qu’industrie, il ne « fait » pas du « cinéma » mais « produit » des « produits » (« Puisque le seul déroulement de la saga dont George Lucas a conçu six épisodes ne suffit pas à amortir ce coût cosmique, il fallait trouver de nouvelles lignes de produit. », bien dit monsieur Sottinel)

P.S. et merci pour la conversion en euros.

3. « Voici donc Rogue One, présenté comme une standalone story, un récit qui tient debout tout seul, annoncé comme le premier d’une série infinie. »

Mélange d’anglicisme maîtrisé et d’hyperbole poétique (« il tombe des bijoux dans l’infini de tes yeux bleus », J.Prévert), cette phrase nous fait sangloter d’admiration comme une chroniqueuse de France Inter évoquant la guerre sur le pourtour méditerranéen.

4. « Il n’est pas besoin d’être un exégète accompli des évangiles selon saints George et Lucas pour comprendre, après quelques minutes de la projection de Rogue One, que les 200 millions investis dans la production l’ont été pour donner une taille colossale à ces quelques lignes. »

Voilà le genre de phrase qui nous énerve. Parce qu’elle énerve ceux qui s’énervent pour rien. Comme si vous n’étiez pas un critique accompli et reconnu ! Oui, le budget de ce film a servi à produire un film à partir d’une phrase-projet (pour parler comme dans la pub, pardon…)… Et alors ? Qu’y a-t-il de faux à cela? Mais peut-être ces Môssieurs de CinemaTeaser daigneront-il-les nous faire un dessin.

Vous écrivez ensuite :

5. « C’est ce qu’on appelle un « programme », terme qui n’est guère compatible avec la tension dramatique, la surprise, l’imagination. ».

Vous vous contredisez (ou pas?), mais c’est surprenant (donc bien). (?)

Quoi qu’il en soit, nous ne saurions formuler la moindre contre-hypothèse à votre encontre : le cinéma peut et doit tendre dramatiquement, surprendre, imaginer.

 Avoir un programme, projeter de faire un film avant même qu’il soit fait, c’est le contraire du cinéma. Le cinéma doit se produire comme ci comme ça, végétal envahissant le cerveau de ses spectateurs-aventuriers. Le terme « programme », employé dans ce « Star Wars« , renvoie aux heures sombres du Duc de Berry et n’évoque nullement la cinéphilie.

6. « Si bien que les aventures de Jyn Erso […] se déroulent dans une ambiance propre à faire pleurer le plus endurant des météorologues : sur quelque planète que l’on aille, le temps est horrible, sans parler des pics de pollution et des cataclysmes provoqués par les essais de l’Etoile de la mort. »

Oh là là BIEN DIT! Comme le disait Jean-Luc Godard (avec son gros accent de gros plouc!) « on ne fait pas assez attention à la météo dans les films. Un film doit rendre heureux, faire rêver, sortir les gens de leur quotidien… A quoi bon faire des films avec de la pluie et de la pollution? Les gens, surtout les Parisiens, ont besoin de féérie, de rêve, d’évasion… »

 Vient alors le passage qui vous doit d’être taxé de RACISTE (vous!) par tout un groupuscule d’écrivains métrosexuels de passage :

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7. « La dynamique mademoiselle Erso est assistée dans son effort pour retrouver les plans de l’« arme ultime » par un équipage qui exsude de très loin le souci de se concilier tous les marchés : Diego Luna (Mexique) en officier rebelle, Jiang Wen et Donnie Yen (République populaire de Chine, où Rogue One est d’ores et déjà assuré d’une date de sortie), Riz Ahmed (Royaume Uni, d’ascendance pakistanaise) se joignent à la jeune femme pour une mission découpée en paliers, comme n’importe quel jeu numérique. »

 Alors qu’il est évident, pour ne pas dire « il faut être un gros con pour ne pas s’en rendre compte », que la « diversité » (au sens LICRA du terme) (pensez à cliquer sur le lien hypertexte associé au mot LICRA et à faire un don malgré tout)

relève du mépris de classe.

D’abord, une femme est l’héroïne, façon de s’octroyer l’aval de 50% de la population terrestre. Business plan stupide s’il en est (et les hommes? non?).

Mais en plus : Noir, Chinois, Indiens et autre se retrouvent parachutés dans cette saga WASP comme autant de Happy Meal sur une usine de Polly Pocket exploitant des prostituées thaïlandaises. A vomir.

***** Merci monsieur Sotinel de nous aider à y voir plus clair et à ne pas tomber dans le panneau des médias crypto-socialistes qui voudraient nous faire croire à une représentation de la population terrestre ou/et autre *****

8. « Le bilan humain, extraterrestre et androïde est lourd, même si tous ces mondes meurent sans verser une goutte de sang, histoire de ne pas laisser filer la classification PG13, qui fait toute la différence entre 90 et 220 millions de dollars de recettes. »

 Comme sur BFM-TV, vous mentionnez le coût humain: vous, vous vous souciez de la mort, même de la mort des extraterrestres et des robots. Et on vous reproche à mots couverts d’être un suppôt de Mussolini! Non…

Il y a des gens qui meurent dans ce film et leur décès est édulcoré afin d’engranger 30 millions de dollars de plus (sur un film qui devrait rapporter plus d’un milliard de dollars, la différence est énorme)

 Voilà la vérité!!

9. « Le but recherché est de faire glapir aux fans « c’est aussi dark que L’Empire contre-attaque » »

Les renards sont des animaux stupides et cons qui se laissent gazer dans leur maison insalubre pour donner leur peau aux gens. Pourtant, les fans de Star Wars sont des renards. Ils sont donc stupides et cons.

Quand on pense aux journalistes des Inrocks qui vous reprocheront d’être impartial, on se passe le gland au mixeur, comme disait Madonna…

 Après avoir raconté un élément clé du film en manière de pied de nez à ces renards-cons qui glapissent « S*P*O*Y*L*E*U*R » dès qu’on ouvre la bouche pour émettre un avis un tant soit peu critique, vous concluez :

10. « Cette nécrophilie nourrie des développements technologiques les plus récents parfait le goût funèbre et mercantile de Rogue One. »

une belle métaphore (la nécrophilie),

une remarque pertinente (il y a de bons effets spéciaux dans Star Wars),

un effet d’insistance (en journalisme les gens nous lisent dans le métro, il faut donc insister : la nécrophilie est bel et bien « funèbre », qui le nie ?)

un adjectif résumant votre avis sur Star Wars (c’est « mercantile »)

une bien belle leçon de critique.

SH

P.S. Pour d’autres critiques hors-système du mercantilisme ambiant dans le sillage de notre parrain Thomas, n’hésitez pas à liker notre page de manière totalement désintéressée: https://www.facebook.com/saddamhusserl/?fref=ts

Merdoulin et les animaux fantastiques: mieux qu’un lapin

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n’oubliez pas votre brosse à dents!

Qu’est-ce qu’un lapin ?

Si l’on en croit le Wiktionnaire, un lapin est un « petit mammifère lagomorphe caractérisé par de longues oreilles ».

Qu’est-ce que « Merdoulin et les animaux fantastiques »?

Selon nous, « Merdoulin et les animaux fantastiques » est une oeuvre de type art publiée en 1917 pendant l’offensive de la Somme. Son auteur, Jean Valjean, est un patron du FMI et quadruple-chanteur de l’heptathlon paralympique de Byzance. Sa soeur, Ezra Pound, est tellement russe qu’elle se fera refaire les mollets à l’âge de 4 ans et demi, afin de mieux supporter la reptation que lui impose sa phobie de la station debout.

SH

P.S. Non mais sérieusement likez notre page là c’est bon vous êtes lourds à la fin cordialement https://www.facebook.com/saddamhusserl/?fref=ts

La Septième Obsession: ah oui, vraiment? humhum.

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nez pointu, clope au bec: pourtant, ce n’est pas une cigogne!

Bonjour, bonsoir, ou peut-être bonne après-midi, qui sait? Personne ne sait, à part vous! Aujourd’hui, date anniversaire de la commémoration du bicentenaire de Lucy l’abominable homme des neiges, nous vous proposons de nous accompagner dans un pari un peu risqué et même un peu riscul : la rédaction d’un livre à la place de son auteur.

Qu’est-ce que hey ?

Haha. Finissez vos questions avant de vous exclamer, pardi! Heureusement pour vous, nous sommes dotés du don de télépathie-smith et sommes à même de deviner ce que vous vouliez savoir. Et la réponse est oui, bien-sûr.

Le 14 août 1749, la maison d’édition AEDON (du nom du dieu du soleil chez les Juifs, Ermenonville) publie un ouvrage consacré à l’acteur d’Expendables 1, Marcello Mastroianni: cet ouvrage, intitulé « Le latin lover au miroir déformant de sa filmographie », est entièrement consultable, ou du moins en partie, ici : http://www.aedon-productions.com/marcello-mastroianni-aedon.html

En-dessous, le sommaire. C’est ici que nous intervenons : car comme nous, vous êtes pauvres et/ou radins, et vous souhaitez jouir de l’intelligence contenue dans cet ouvrage sans pour autant dépenser un pécule qui correspond peut-être aux 20 prochaines baguettes de pain que vous irez chercher chez le cordonnier, dont les baguettes sont douteuses (et peu comestibles, et pourquoi vous les sert-il en riant d’un air mauvais?), mais il faut avoir le courage de ses convictions.

Nous nous proposons donc d’écrire ce livre à la place de son auteur, Pocahontas Agassi (fille de, eh non!), et ce à partir de son sommaire uniquement.

Sommaire complet

 1. Avant La Dolce Vita : des prémices du Marcello falot et grotesque au jeune premier insignifiant

Marcello s’est fait circoncire par un fou. Il l’a longtemps regretté. Mais son histoire n’intéresse personne, jusqu’à la 4e.

‪‪‪‫‫   ‭‭Le film matriciel du duo Loren/Mastroianni : Dommage que tu sois une canaille

En 3e, il tourne dans un film réalisé par son oncle, Galilée. Le film est un flop.

Marcello, tendre insignifiant : Nuits blanches

 Passons.

2. La Dolce Vita : la fabrique du latin lover

 Marcello travaille dans une usine ADIDAS jusqu’à ses 46 ans. Il se fait licencier pour faute grave après s’être immolé par le feu.

3. Les tragédies de l’intériorité : Marcello, dandy métaphysique

 Déçu, il devient acteur et se spécialise dans les scènes d’intérieur (salle de bain, chemise, saloon ou vagin)

L’érosion sans concession du latin lover : La Notte

 Dans La Belle et le Clochard, il excelle dans le rôle de la table, pour laquelle il sert de modèle.

Le latin lover est un leurre : Le Bel Antonio

 C’est vrai.

L’impuissance créatrice du dandy métaphysique : Huit et demi

 Ou encore : l’érection ratée démiurgique du dildo patasciences-nat’: quatorze virgule vingt-cinq.

4. Le tournant de la comédie de mœurs (Germi, De Sica, Petri) : Marcello, petit-bourgeois grotesque et émasculé

 Un virage à droite qui n’aura pas manqué de satisfaire le nazi sommeillant en chacun de nous. Pourtant, il n’est que momentané : Mastroianni se rétracte et fleuve.

L’acte de naissance flamboyant du Marcello comique : Divorce à l’italienne

 Rock’n’roll, twist, automutilation : les sous-genres personnels d’un homme à femmes.

Libertinage aboulique d’un latin lover embourgeoisé : L’Assassin

 C’est le Moyen Âge. La féodalité règne en Bourgogne. Pourquoi ?

Toute l’histoire des échecs sexuels de Marcello à l’écran : Hier, aujourd’hui et demain

 Lol. Heureusement qu’il y a Fabius… Si vous voyez ce que nous voulons dire.

Marcello ou l’hypocrisie de la conscience petite-bourgeoise : Mariage à l’italienne

 Lassé par les rodomontades de sa mère, un vieil homme tronc antinomique et bipolaire, Mastroianni se suicide pour la quatrième fois au moyen d’un mariage entièrement prononcé en italien. Il décède d’incompréhension, étant d’origine marocaine.

5. Scola ou la métamorphose : l’effacement définitif, grotesque puis tragique, du latin lover

 Cette partie-là n’est pas la plus intéressante. Passons.

Le latin lover encrassé : Drame de la jalousie

 Il y a du mieux, mais passons (en gros, Mastroianni se fait refaire le nez chez un concessionnaire Renault et se retrouve avec un pneu en plein milieu du visage)

Le jeu dansant de Marcello : Une journée particulière

 Longue partie de chaises musicales paralympiques, remportée par le seul valide de la compétition : Sergio Leone.

Mastroianni en Casanova sur le retour : La Nuit de Varennes

 Ça se discute. Franchement ça se discute.

6. Casanova 70, tournant franco-italien et carrière en France : le Marcello de la fable

 Bon ça tout le monde connaît…

Casanova 70, de Mario Monicelli : les tribulations d’un séducteur démissionnaire

 Cf. plus haut, ou alors retournez à Paris-2.

Marcello, Robinson taciturne et tellurique : Liza

 Et inversement

Marcello, Eros contre Thanatos : La Grande Bouffe

 Jean-Pirelli, Andros contre Potatoes: Hugues Aufray (gaufrette?)

Marcello, cavaleur triste et acteur raté : Salut l’artiste

L’acmé comique et saugrenue de la sexuation de Marcello conduit l’artiste-phare à l’événement le plus important de sa vie depuis que l’homme a marché sur la Lune.

7. Fellini, Mikhalkov, Altman : la période « rétroviseur ». Cassures parodiques, plaisir du rejeu et actualisation du mythe mastroiannien

 Nous avons arrêté le livre ici, tant pis.

 Au revoir, bonne journée!

SH

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