Notre TOP-17 des gestes (cinématographiques ou non) qui auront marqué 2015

GERMANY ALPINE SKIING

à nous deux, 2013

La fin de l’année étant venue, à nous de la saluer à deux mains à l’aide de ce top-24 des meilleurs actes de 2015 (tous confondus), à lire dans un sens comme dans l’autre. Bonne lecture/année/surprise/rétablissement!

1.Ronfler tout seul ou à deux

2.Mia Madre

3.Le Voyage d’ARLO

4.Voter nul en rotant dans son bulletin de vote

5.Le visage d’APITCHATPONG VERASETAKULE

6.Le pied de SELENA GOMEZ

7.Le fils de SAUL

8.Uriner

9.Trois souvenirs de ma jeunesse

10. »Nous sommes un pays uni qui est la France » (Manuel Valls)

11.Tous les hors-champs de STAR WARS 7 (SEPT)

12.Un mulot qui nous a fui dans une avenue de Nice

13.Ex-aequo: la démission de Georges Toubiana/cette vidéo: https://www.youtube.com/watch?v=NodtEU5d55w

14.Le mois de « juin »

15. »Qui es-tu Charlie? » « Je suis ton père » « Nan c’est faux mon père s’appelle Michel »

16.Mia Madre

17.La dernière campagne d’affichage « EBLY »

18.Jouir

19.Hermann Maier

20.La première greffe du doigt ratée sur une plante verte (Suisse/Suisse)

21.Être étonné par un(e) inconnu(t) qui se retourne en éternuant

22.American Sniper

23.Riri

24.Ex aequo: Six Pack/Tupac

25.Le petit « bug » de Léa Seydoux pendant l’avant-première de Jurassic World à Toulon (tmtc Léa 😉 )

26.Être nigaud

27.Ex aequo: Knights of Cups/Le Pont des Espions/Vice-Versa/The Leftovers Saison 2/La mort de Luke Skywalker au début de Star Wars VII/Réalité/Knight of Cup/Les Minions 2/The Visit/David Pujadas/Currents, de Tame Impala/Se tondre

28.La nouvelle coupe du monde

29.Des phoques

30.René Girard

21.Mykonos

58.Ta soeur

2.Ric Van Houten

324.George Lucas en femme

P.S. (hors-catégorie): le sourire de Nagui

SH

P.S.²: Nous sommes le meilleur site de critiques générales, toutes catégories (Source: IFOP/Frédéric Beigbeder/Hervé Morin). Pour vous en assurer, likez notre page ci-jointe: https://www.facebook.com/saddamhusserl/?fref=ts

PPS: Shia LaBeouf

STAR WARS 398: MEGA SPOILT

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un peu triste

Quand nous avons découvert Les Guerres de l’étoile suivi du nombre sept, nous avons pensé: « Quel pauvre Matteo Garrone. Il n’aura eu rien à voir avec ce film. » Puis, après avoir mangé 14 chips à la vomissure, nous avons songé: « Pauvre George Lucas. Il est le sosie d’une rhinite. » Puis nous nous sommes rendu compte que nous avions tout faux.

Tout faux car, pour citer Mickaël Winnerbaecke, de @No_Ciné, « Star Wars est un film commercial qui sert à générer de l’argent financière pour des spectateurs susceptible d’ingérer du maïs pendant la projection comme de vulgaire poulagas en salopette ».

Vrai, faux, pitoublex? Pitoublex. Car ce que Mickaël ne dit pas, c’est qu’à la fin de Star Wars Mil Han Solo se fait mouler le torse dans du plâtre (clin d’œil merdulique à la scène de l’Episode XLIV où il se fait cryogéniser l’utérus) et prend aussitôt l’air déçu, car le médecin est le sosie de sa sœur obèse Jabba la Pouffe Glabre.

Nous n’en dirons pas plus. Quelle déception.

SH

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Star Wars Une Force qui se réveille : QUEL FILM PÉTULANT !

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Thelma et Louise

JJ Abrams est un jeune réalisateur juif séfarade dont la religion orthodoxe n’a jamais interféré avec les croyances intimement bouddhisto-capitalistes. Dans Star Wars VII, cette pudibonderie choquante prend la forme d’un rhumatisme pétulant non-dénué d’équivoque. A droite, j’ai nommé JOHN BOYEGA, à gauche, je demande « pourquoi » à un petit renard qui me mord la cheville pendant que j’enlève la tache de mayonnaise que j’ai faite sur mon short.

L’héroïne de ce film de qualité discutante, appelée RAIE, porte un nom difficile à porter. Elle s’active sur une planète nommé JACQUES/CUL (JACQUOU?). Comme dans Scream, elle porte un pull; comme dans une pub pour le scoutisme, son ami est un ballon qui lui rappelle son frère Françoise.

Tout en chevauchant un gros saumon humide et docte (tant va la cruche etc), elle fait la rencontre d’ANE SOLE HAUT et de CHOU BAC A DOUCHE AH,  deux amis de longue date dont l’homosexualité ne fait pas d’ombrage à un petit arbre plié. Tous ensemble, et munis d’un protagoniste intutilé JEAN TAPIE (verbe sujet à caution). Ils s’ébrouent dans ce biopic de Louis XIV qui ne dit pas son nom (vaisseaux spatiaux  et tuberculose à l’appui).

C’est en se dirigeant d’une scène à une autre comme une chèvre broute un brin d’herbe que le film se dirige de son début vers sa fin avec une linéarité qui ne ferait pas rougir quelqu’un que la linéarité n’intéresse pas, peu ou prou; comme par exemple Jean le Chinois (réalisateur et frère de James Ivory) ou Guillaume Guitare-Etrange (portable à 8€).

A la fois betterave et mitterand, cet opus inter-onctueux nous renvoie à nos souvenirs d’enfance et nous recrache de la salle de cinéma que nous avions élue comme cadre de notre fesse, comme un poil de rein tombé dans la soupe et ingéré par erreur par un représentant des nations unies invité dans un restaurant français de la rue de la Bite (9e, 3e et 23e arrondissement): un œuf de poule abandonné sur un gilet.

SH

P.S.: Nous sommes d’excellents critiques. Pour ne manquer aucune de nos pépites d’intelligence (nous participerons d’ailleurs bientôt au CERCLE de Frédéric BEIGBEDER, qui s’intéresse à nos organes à verbe), liker ce lien d’un air inquiet et maladif à la fois: https://www.facebook.com/saddamhusserl/?fref=ts

STAR WARS 1: PAS DE SPOILER

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daniel balavoine n’aurait pas dit mieux.

Nous venons d’assister à la première mondiale de STAR WARS SEPT: LE REVEIL D’UN CERTAIN TYPE DE FORCE.

Lors de cette projection, nous nous sommes servis de notre cervelas pour élaborer un certain nombre de remarques.

Formulées dans l’ordre chronologique de leur apparition au niveau de notre cortex préfrontal, les voici.

1.HOUHOUHOUHOUHOUHOUHOUH

2.Quel mauvais film. On ne voit rien.

3.HA CA COMMENCE

4.Quel mauvais film. Il n’est constitué que de logos.

5.HA NON CA Y EST VOILA LE TITRE

6.Quel mauvais film. Il consiste en de la lecture jaune.

7.HA NON VOILA UN EFFET SPECIAL DE QUALITE

8.Quel ennui! Un personnage vient de prononcer le verbe « the ».

9.HA NON IL A DIT « HIG HAG HOUG VROUM VROUM TADAH »

10.Finalement, ce film était meilleur lorsqu’il n’existait pas.

11.WOGA WOGA HEY HEY YEAH

12.Star Wars est un film commercial. Je suis communiste.

13.NIGGA HOY

14.Pourquoi la musique se constitue-t-elle d’aussi peu de « mi »?

15.OH LA LA UN TRAVELLING LATERAL CONSTITUE DE MIEL DE POULE

16.J’ai vomi de joie. Je suis donc déçu.

17.C’EST VRAIMENT TRES TRES BIEN CE FILM JE SOUHAITE REVOIR LE PLAN QUE JE VIENS DE VOIR AU MOINS 25 FOIS D’ICI DEMAIN MERCI LA VIE

18.Ce film est déjà terminé? Quel regrettable dommage. Il aurait été réussi si la fin s’était située dans un futur proche de type dans 100 ans.

19.HAHA

20.Hamz

SH

P.S.Nous ne publierons plus, à l’avenir, que des critiques de TAR WARS SEPT: LE REVEIL D’UN CERTAIN TYPE DE FORCE. Pour vous y abonner, likez notre page de tout votre long: https://www.facebook.com/saddamhusserl/?fref=ts

BIENVENUE MONSIEUR BONNAUD <3

Cher Monsieur Bonnaud,

Nous avons appris ce matin votre nomination à la tête de la Cinémathèque Française de Cinéma de France. Votre expérience d’intellectuel fait de vous l’un des citoyens les plus propres et susceptibles d’effectuer cette tâche sans mot dire: c’est-à-dire comme la coutume l’exige.

A la tête du Nouvel Obs et des Inrockuptibles que vous avez dirigée, vous avez fait preuve d’un vrai discernement qui consistait à flairer le vent avant qu’il tourne. Ce talent nasal vous a valu de nombreuses fleurs, ainsi qu’un salaire régulier versé sur un compte bancaire en Corse.

Aujourd’hui, ces arrhes vous seront versées pour un acte hautement plus culturel que l’agencement de petits caractères sur de la matière flexible (papier): il vous faudra désormais choisir de quels éléments lumineux (images) vous abreuverez l’intelligentsia cinéphile, et le tout se fera sur un support rigide (écran, bites).

C’est avec une hâte non-amoindrie que nous attendons votre invitation à votre pot de départ, qui signera des années de bons et loyaux services à la tête de l’état du cinéma, que vous laisserez en bon.

Nos compliments ne sont pas sincères: nous aimerions travailler à vos côtés, et cherchons par notre faconde lubrifiée à vous adoucir à notre égard. Nous aussi aimerions participer à l’édification de la rigueur culturelle des étudiants en cinéma. Nous connaissons des tas d’auteurs mystérieux (Ella Fitzgeraldy, Max Proutz, Jon Chu, James Cameron, Ida Lupino) qui feraient de très belles rétrospectives, voire expositions.

Nous serons heureux de participer à la réunion sans efforts de copies qui vous appartiennent déjà afin d’inviter des hommes mâles et de leur suggérer de répéter ce qu’ils savent depuis 40 ans et jugent bon d’inoculer aux non-arthritiques toujours fertiles.

Nous serons heureux de suggérer à Thierry Frémaux d’unir les forces de l’amour à celles du sentiment de la popularité, de vous tenir votre petit parapluie quand Sabine Azéma viendra présenter le dernier Alain Resnais, et d’écrire des articles élogieux sur l’exposition qui sera consacrée aux objets dans les films des Frères Lumières ou aux fesses dans la saga Jurrassic Park.

Nous savons également parler trois langues (anglais, français, franglais), sommes de contenance semi-féminine (possibilité de porter des talons et de faux-seins si besoin est) et vouons une tendresse quasi-moite au numéro des Inrocks que vous avez consacré au sexe dans le milieu de la GRS et du patinage artistique à l’occasion des JO de Nagano.

En espérant avoir retenu votre exmulation,

SH

Bien cordialement chez vous.

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hihi

 

Le Pont des Espions: un opus très Spielbergien!

‘Bridge of Spies’ by DreamWorks Studios.

Un remake de « Il faut donc sauver le Soldat Ryan » plutôt décevant.

Le dernier film du grand mogul Steven Spielberg est sorti aujourd’hui, comme s’il n’avait déjà assez d’argent comme ça. Ces nababs du cinéma hollywoodien ne s’arrêtent décidément devant rien. Cette fois-ci, c’est à l’Histoire avec un grand H que s’attaque le réalisateur de Always et La Liste de Schlinder.

Tom Hanks incarne John Donovan, un héros banal comme le sont tous les héros de Spielberg. Il se rase, a peu d’anus, mange des ongles, chante mal et apprécie le pedal walking (marche à pied). Puis soudain, la grande Histoire lui tombe sur le dos et comme tous les héros américains, de John McClane à Christophe Colomb, il se retrouve à sauver le monde.

Le pire, c’est que Le Pont des Espions ne cache même pas sa dimension impérialiste, puisqu’à plusieurs reprises le mot « hernoulf » y est prononcé (à moins qu’on ait mal écouté, puisque, terrassés par l’absence totale d’intérêt porté à ce film chiant, nous l’avons passé à regarder sur PS4 les Tortues Ninja de John Turtletaub qui, pour nul qu’il soit, n’a pas la prétention de se faire passer pour un film de Steven Spielberg).

SH

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