Notre sélection de 8 films pour la Saint-Valentin (sponso Nike)

hohoho

il ne sera pas question d’Aquaman dans cet article, merci d’avoir cliqué

 Depuis quelques décennies, la frange la plus exigeante de la critique de cinéma se désintéresse du cinéma dit « populaire », celui-là même que portent aux nues les partisans d’un art « apolitique » voire « apolitake » voire « upilutek » voire « pikoulimik » voire « batulimax ». Las! Il était temps de revenir sur cette fonction primordiale (car sweat) de la crit(m)ique: l’injonction au visionnage. A l’occasion de la Saint-Valentin de janvier, voici donc notre sélection de 23 films idéals.aux pour un petit visionnage entre partenaires sexuels.

  1. Le truc avec Gérard Butler qui pète Big Ben là. Nous avons oublié le titre. Mais c’est un assez bon film, relativement émouvant (relativement). Les scènes d’action méritent la note de 17/20 dans la mesure où elles sont filmées avec un grand angle PANASONIC, façon d’inscrire le travail de Serge Bromberg dans la lignée directe d’un Elia Kazan, d’un Bigremal Teddybelidy ou d’une Myriam Jouasse.
  2. Coup de Blues à Notting Hill. Dans cette suite méconnue, car tournée au Pakistan, du mégahit planétaire avec Hugh Grant et Alizée, nos bibliothécaires préférés ont un petit coup de blues parce qu’il pleut. Heureusement, il y a Findus.
  3. Un bon petit Charlie Chaplin. L’occasion de rappeler que le noir et blanc peut être un choix judicieux quand il n’y a aucune couleur intéressante à afficher.
  4. Casse-bonbon et le royaume de truc. Le dernier Disney avec la fille qui mange du pain d’épice. Décidément les titres ne sont pas notre fort ce soir. A la fin il y a une grosse souris. Quelque chose comme ça. Vraiment divertissant, à condition de bien s’amuser! Sinon, ennui.
  5. Rambo 2. Notre conseil ? Ne pas mettre le son trop fort. Sinon c’est désagréable.
  6. Qu’est-ce qu’on a (encore) fait au bon dieu ? Dans la suite de la comédie épouvantable de François Morel & Eric Lupin, le personnage « raciste » incarné par Kamel Walid est confronté au changement de genre de sa sœur Patricia, qui insiste pour que tout le monde se mette à l’appeler « Petwhishe » en insistant bien sur la syllabe du milieu. Moins drôle, mais tout aussi pertinent.
  7. Everest. Dans cette ode au décès en haute-montagne, Keira Knightley verse neuf larmes, dont une qui lui rentre dans la narine parce qu’elle met subitement la tête à l’envers, avant de se raviser en disant glarg à mi-voix et en toussant. A ne pas manquer sous un peu de prétexte, au choix.
  8. Un petit Gondry ? Non, quand même pas.
  9. La Peau douce. François Truffaut est l’homme qui aimait piner des femmes par excellence, et cela se ressent dans cette histoire d’un concessionnaire Citroën qui se rend compte que ses chances de pécho se multiplient s’il arrête d’essayer de pécho sa femme, qui ne peut plus supporter sa sale tête de mort. Problème : il habite en Irak… On ne vous en dit pas plus.

 

Et puis voilà quoi, c’est déjà bien non ? Bon ramadan un peu en retard ! Lâchez vos comms ! Mettez-nous un pouce bleu (si possible) !

A très bientôt,

SH

P.S.: Notre webmaster Julien nous a concocté une page Facebook qui sort des sentiers battus. C’est faux, Julien n’existe pas ! Il s’appelle Alex et il a voté Macron. La deuxième partie de notre phrase est fausse également : notre page Facebook est banale ! Likez-la quand même, ne faites pas les radins, c’est Noël après tout 😉  https://www.facebook.com/saddamhusserl/

Un commentaire

  1. Shlomo · janvier 15, 2019

    Par contre.

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