Radio VNR: Captain Fantastic

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SLF, SALUT LES FAF

TUUUUT

TUUUUT

Bonjour! Aujourd’hui, Saddam HUSSERL s’associe à Radio VNR, la radio des gens dont le sang froid bout à moins de 46°. Notre première recension radiophonique est consacrée au premier film de Lars Von Trier, « Captain Fantastic », avec Elijah Wood dans le rôle d’une mère de famille survivaliste qui accompagne ses enfants à un concours de mini-miss.

SH: Bonjour à tous,

Nicolas: Bonjour

Pierre: Bonjour

Nicolas: Bonjour

Arnaud: Bonjour

Jackie Chan: Bonjour

SH: Voilà, merci beaucoup d’avoir dit bonjour, et surtout toi, Nicolas, qui l’as dit deux fois

Nicolas: De rien

Pierre: De rien

Arnaud: De rien

Jackie Chan: De rien

Nicolas: De rien

SH: Voilà, merci encore, aujourd’hui nous

Nicolas: Ha ha

SH: Voilà, merci, donc aujourd’hui nous sommes réunis dans les locaux de Radio VNR pour discuter d’un film qui fait l’u-na-ni-mi-té: CAPTAIN…

Pierre: Igloo?

Jackie Chan: Lol

SH: Ha ha, voilà, donc aujourd’hui nous allons vous parler de CAPTAIN FANTASTIC, et c’est MICHEL GONDRY, notre invité surprise, qui va nous en parler le mieux.

MICHEL GONDRY: Alors oui bonjour, moi personnellement j’ai adoré ce film, je l’ai trouvé plein d’une vitalité pleine, comme une sorte de sexe qui s’envole comme un ballon dirigeable fou, c’est à la fois très mythique et totalement anecdotique, j’adore, surtout la façon qu’à Viggo Mortensen de filmer ses enfants pendant qu’ils mangent des mouches.

Nicolas: Non, moi, avec tout le respect que je te dois Michel, je trouve que c’est un film nauséeux, d’ailleurs j’ai vomi deux ou trois fois.

Arnaud: Oui mais sois honnête envers toi-même, tu avais mangé un petit camembert africain avant la séance.

SH: Allez allez, on ne s’éloigne pas du sujet s’il-vous-plaît! Pierre, un constat?

Pierre: Mes confrères parlent très bien!

SH: C’est vrai.

Jackie Chan: En ce qui me concerne, j’ai été assez déçu par le début, un peu moins par la fin, mais un peu quand-même, puisque le père ne propose finalement pas un mode de vie possible, enfin je n’y crois pas.

MICHEL GONDRY: Avec tout le respect que je vous dois, je vous propose soudain d’aller niquer vos mères!

Nicolas: Ah? Pourquoi? Je ne comprends pas pourquoi! Argumente, vas-y!

MICHEL GONDRY: J’argumente si je veux, espèce de petit fdp à roulettes

Arnaud: Enfoiré!

Jackie Chan: Si quelqu’un m’insulte, je vais sortir de mes gonds et cette émission devra s’achever car je suis quelqu’un d’extrêmement violent!

MICHEL GONDRY: Canapé

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Qui es-tu, Paul VECCHIALI ?

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mieux que dingo

Bonjour,

Aujourd’hui, très simplement, nous allons vous parler d’un sujet qui nous parle à nous tous: Paul Vecchiali. Paul Vecchiali, « Paul » pour les gens qui s’adressent directement à lui, est un réalisateur de cinéma libanais né au Liban en 1712. Très jeune, il s’intéresse à la cryptographie et perd l’usage de son corps dans un accident de surf. Il n’en deviendra pas moins l’un des réalisateurs les plus probants de sa profession, comme le démontre, une fois pour toute, son dernier film intitulé « LE CANCRE » (« EL CANRCRE » pour nos amis hispanisants).

Présents à une séance du film proposée hier à Liverpool, dans une cave où d’autres journalistes tels que nous étaient enfermés depuis des années sans possibilité de sortir, de se laver ou d’avorter, nous avons eu l’occasion d’observer ce nouvel opus non moins moindre que ceux qui l’ont précédé.

Le film représente un vieux, Pol Pot* (*retenez bien ce nom), muni d’une barbe, d’une chemise, ainsi que de divers organes vitaux. On voit de l’eau: serait-ce la mer? Oui. Cette première énigme renvoie à l’interprétation nécessaire que chacun d’entre nous fait, chaque jour, des choses qu’on lui dit.

Peu après cette puissante évocation de la vie, le vieux se fait agresser par un fou. Le fou s’avère être son fils, qui se fait traiter d’enfoiré et de putes.

Suite à cela, Annie Cordy incarne une vieille dont la libido est encore supérieure à 4. Souhaitant observer de plus près le popol de Pol Pot (**), elle lui formule une requête de type « coucou », mais se voit refuser tout accès à l’urètre de son interlocuteur. Elle se renferme donc sur elle-même.

Dans la scène suivante, Peter cherche une vieille. Il rencontre donc une autre vieille à qui il dit « bonjour », « je cherche une meuf qui s’appelle Marguerite » ou encore « HOHO ».

Puis le film s’achève peut-être (nous ne pouvons pas confirmer, étant décédés lors de la scène suivante).

RIP,

SH

PS: Pour nous faire part de l’opinion de votre choix, écrivez-nous en likant notre page au 06 48 27 659 https://www.facebook.com/saddamhusserl/?fref=ts

** ^^

Rencontre avec DURENDAL

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connard

Durendal: Hum… oui… han… ah, là là… c’est bien… dis donc… han! Haha. Har!… Hign…

(Nous copulons plus ou moins homosexuellement)

SH: Souhaitez-vous répondre à nos questions?

Durendal: AH LA LA!!!!!!!!!!!

(il remet son slip)

SH: S’il-vous-plaît!

(il s’engage dans les escaliers au moyen d’une trotinette, et chute.)

Durendal: Aïe!

Suite au décès partiel de Durendal, nous choisissons de chroniquer sa dernière vidéo, consacrée à un film de Xavier « Dolan » (?), intitulé « Juste la fin du monde ». Ce texte, conséquemment à une nécessité de renouveler la forme critique, se présentera comme une vulgaire liste de remarques.

  1. Durendal a une foutue tête de bite avec son sale collier de nain de jardin connard
  2. Il s’exprime comme un étudiant qui redouble sa L2 à Paris-III et qui fait le premier exposé de sa vie parce qu’il avait réussi à esquiver jusque là
  3. Il nous raconte sa life on s’en bat la race
  4. Il raconte le film on s’en bat la race
  5. Il emploie le mot « spoileurz » il faudrait lui agrafer l’urètre
  6. Quand on n’arrive pas à parler, pourquoi parler?
  7. Il s’y connaît autant en cinéma que Laurent Weil
  8. Son étagère s’y connaît mieux en cinéma que Laurent Weil
  9. Il dit une chose et son contraire avec l’air de nous annoncer qu’on a le SIDA
  10. Il ne se rend pas compte que 95% de ses spectateurs sont constitués de vieux pédophiles de rue qui kiffent sur son décolleté de psychopathe
  11. Il emploie le mot « mature » pour parler de Xavier Dolan
  12. Quand il fait semblant de se retenir de sourire on a l’impression qu’il éjacule des lézards et que ça l’inquiète mais qu’il essaie de le cacher
  13. « Des relations presque sociales » est une expression digne d’un fou
  14. Il a essayé d’imiter du OZONE et personne n’a essayé de lui enfoncer le visage avec un parpaing
  15. Il fait semblant de rire comme si quelqu’un venait de s’introduire dans son fion pour y jouer de l’harmonica
  16. Il s’adresse à nous comme si nous étions ses amis alors que c’est faux: nous souhaiterions le maltraiter!
  17. Il maîtrise la syntaxe française aussi bien qu’un djihadiste décédé
  18. Il pue des mains, ça se voit
  19. Il a vomi
  20. Il fait semblant de chercher ce qu’il veut dire alors qu’il dit absolument n’importe quoi de A à Z pour essayer de pécho des meubles des animaux et des vieux
  21. Il fait mine de réfléchir avec ses sourcils alors qu’il est en train de se retenir de chier des trèfles
  22. « C’est très bien raconté tel que c’est fait dans le film »: enfin une phrase intelligente! Bravo.
  23. Il parle de « niveau de jeu » comme si les acteurs étaient des piscines
  24. Il dit « Lagarce » quand il parle de Pierrick Lagarce alors qu’il le connaît à peu près aussi bien que la méthode d’éviscération des chinchillas
  25. Il déplore son incapacité à imiter Léa Seydoux.
  26. Il exhibe son sexe, qui ressemble à un poulet rôti de nazis fêtant Thanksgiving
  27. Il est méchant
  28. Il trouve des choses « vraiment pas mal »
  29. Il dit « Xavier Dolan ne peut pas se tromper »
  30. « C’est du film sensoriel sur la façon qu’ont les personnages de ressentir le monde »: excellente tournure, que nous aurions aimé trouver nous-mêmes!
  31. « Donc voilà! ». Connard!

En tout respect bien-sûr!

Et bonne journée,

SH

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