LE TOP-10 LE PLUS INTÉRESSANT DE 2017 beaucoup mieux que Accreds Chroni’kart ou Studio/CinéLive

hfuei

swing

PAM!!!! C’est la fin de l’année. OH NON! Vous dites-vous. Nous allons peut-être décéder!

Sauf que NON!!! Car quand l’année sera finie, vous pourrez affirmer fièrement avoir survécu un an de plus, et espérer bénéficier de la date la plus futuriste possible sur votre pierre tombale – 2018 au minimum. Bravo!

Suite à ces considérations morbides, nous vous proposons un « top », « 10 » de surcroît car il classe « dix » oeuvres de type « film » (et/ou séries/pull/geste artistique quelconque) sorti cette année.

Et on commence avec le numéro 4, car aucun film ne nous a semblé digne de figurer dans les trois premières positions.

4. TWIN PEAKS, de David Lynch (saison 2) – chef d’oeuvre remis au goût du jour par la sortie de la saison 03, la saison 02 est rafraîchie de telle sorte qu’on la croirait sortie cette année. Bluffant et dégrisante comme une gifle par un policier.

5. TWIN PEAKS, de David Lynch (saison 3) – car elle est assez bien aussi

6. GRAVE, de Julia Roberts (film 1) – car c’est vraiment le renouveau du genre et que c’est vraiment un renouveau d’espoir pour le cinéma français qui était en perte de vitesse etc etc

7. OKJA, de Max Planck (film 8) – car on n’avait jamais pensé qu’un cochon puisse ressembler à une vache, surtout quand c’est une petite fille de 7 ans qui lui trait le pis jusqu’à ce que nous versions notre première larme nutritive et blanche comme du foutral de chameau bien protéiné comme on aime

8. 120BPM, de David PLYMPTON (film 1), le film consacré aux acronymes sibyllins et sibyllynx, cet animal vosgien et incompréhensible.

9. LOST CITY OF Z, de Jay Barushel (film 26), qui met enfin tout le monde d’accord sur la définition de « relativement bon film qu’il ne vaut pas la peine d’étriller outre-mesure car bon y a pire », exercice auquel nous nous prêtons actuellement sans forcément nous traduire en mots dans le paragraphe qui est en train de s’achever et s’achève hop là poum.

10. PETIT PAYSAN, de Max Planck aussi (film 12), parce qu’on avait rarement aussi bien filmé les vaches au cinéma, et qu’il n’y a pas besoin d’être « vegan » pour apprécier une bonne vache non-morte.

PAM* *Griller

Bonne année et adieu nous arrêtons la critique après minuit

SH

P.S. C’est faux. Likez notre page https://www.facebook.com/saddamhusserl/

 

STAR WARS 8 STAR WARS 8 CLIQUE MERDE CLIQUE ALLEZ CLIQUE

mgi

#BalanceTonStyle

Bonjour, veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée,

Et bienvenue au début de la lecture du meilleur texte sur Star Wars que vous lirez dans la presse papier française (bien meilleur que celui de Louis Blanchot dans Chro, qui est pourtant déjà très bien).

Attention, cet article est garanti sans spoilers, mais nous révélons ici et là quelques éléments majeurs du scénario, comme lorsque xxxxxxxxxx xx xxxxxxxx xxxxxx xxxxx xx xxxxxx et que xxxxx xxx xxxxxxx. Est-ce que la mort de Luke Skywalker compte? Si oui, xxxxx xxxx x xxxxx xxxxxxx xx xxxxx

Maintenant que les choses sont claires, nous pouvons aller droit dans le pot, sans tourner autour du mille comme un train électrique autour d’une femme consentante ligotée dans un salon bourgeois sur une affiche LRUMP (omg!).

Ndlr. Comme nous souhaitons ménager le lectorat « chèvre » et le lectorat « chou », nous écrirons deux critiques, aussi honnête l’une que l’autre.

CRITIQUE NUMÉROTÉE COMME SUIT : UN.

 Déception que ce huitième opus de la saga intergalactique fondée par George Lucas en 1977. Le grand mogul s’étant retiré dans son coffre à dollars comme un Picsou lubrique, ayant vendu sa fortune au grand empire Mongol Disney, il regarde depuis son balcon rougeâtre la pompe à fric qu’il a conçue fonctionner comme chaque chaque année. Comment qualifier l’aspirateur de cet année ? Bruyant ? Efficace ? Fait-il fuir les hamsters dans les pots de farine ? La réponse est évidemment oui. Adam Driver est excellent mais moche, Daisy Ridley ressemble à Keira Knightley et (quoique moins) à Ray Charles, mais Rian Johnson (réalisateur du très sous-estimé LOOPER, sur un gros chien qui se fait greffer une cinquième patte au niveau du nombril mais la greffe ne prend pas il tombe malade et il meurt) n’en fait rien et préfère se complaire dans le spectacle décérébré d’images dépolitisées au moyen d’acteur décédés. Notre note: le fa.

CRITIQUE NUMÉROTÉE COMME SUIT : TRENTE-SIX LOL

 Quel bonheur de retrouver, année après année, cette vieille tante! Star Wars est en bonne santé et n’a pas abusé des UV cette année, sauf au niveau de l’entrejambe, qui scintille. Mais n’est-ce pas là le rôle principal de cette saga que de nous en mettre plein la vue, comme un pot de soupe froide secoué par un enfant malfaisant au visage d’un inconnu qui tente de lui prélever un organe interne (poumon, bite) pour le manger ? Adam Driver est beau, Daisy Ridley ressemble à ZOBI la Mouche et Rian Johnson (réalisateur d’un très beau documentaire sur les compétitions de saute-mouton paralympiques au Qatar) n’a d’yeux que pour son actrice principale, Mark Hamill, remarquablement grimé.e en femme du début à la fin, jusqu’à cette scène mémorable où elle prend les traits de Laura Dern et se met à zouker furieusement. Inattendu, enthousiasmant, en un mot : joyeux Noël !

SH

P.S.: Psssst! Psssst! Oui, vous! …Non, rien! 😉

(ayant ri, likez notre page : https://www.facebook.com/saddamhusserl/)