Juste la fin du monde: W*avier Dolan au SOMMET *X

307679Se cacher les yeux pour ne pas voir la réalité…

« Il était suisse, il était gros, il sentait bon le marbre chaud » – Albert Einstein / Gandhi

Combien de rimjobs, exactement, sifflent sur nos têtes à l’instant où nous écrivons notre éloge de l’esthétique dolanienne? Tout digne d’un adjectif qu’il fut, le jeune prodige québécois nous laisse coi: jamais ne fut la belle d’un grand qui beurre. Dans l’instance d’un rassemblement mulinial, personne ne se rappelle de la BO de OBLIVION par M83, composée par Ludwig Van Puteaux-veines en 1498: car ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Dolan, lui, a les yeux plus hauts, plus levés vers un objet de type élevé: la sublimité platonicienne de son absence de ktipity (sauce hindi) confine cette fois Pierre Murat à l’autoéjaculation oculaire. Foin de prépuces: passons aux choses (un peu moins) sérieuses.

En 1906, Pual Clémencing (président de la région Poulardes) se rend dans sa famille, co-gérée par Marion « han oui » Cotillard. En un plan resserré sur le regard d’absolument personne, W*avier Dolan *X nous rappelle à quel point son talent surpasse la précision millimétrale d’un Quentin Tarantino shooté à l’Efferalgan: virtuose sans l’être, il met son jeune âge au service d’un hélitreuillage sexuel ébouriffant (capillairement, mais pas que…) dans lequel son regard acerbe et acerbé relègue une Agnès Varda au rang de petite tepu des bacs à sable.

Pourquoi, demandezrez-vous à un passant qui passe, pourquoi pourquoi pourquoi pourquoi? Jessica Chastain, mal élue par un mitochondrique fumable de type Louise et Louison (« Skorecking », pour citer un jeune nommé ARold) nous rétorquera en nous battant les yeux à l’aide d’un parapente que nous n’y connaissons fi, et que notre bipédie ne saurait renvoyer quiconque à l’instance peu probable d’un nouveau chef-d’oeuvre intitulé « Jusque la fin du monde », faute de s’appeler « Mon mimimumu ririfoufou je ris tu cries recouds-moi la jambe stp j’ai pas toute la nuit ».

SH

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Predator, Showgirls: un revival des 90’s?

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bonjour les aphtes

Il n’aura échappé à la sagacité extrême d’aucun-e de nos lecteur-ice-s qu’il est du dernier cri poussé d’acclamer, en pures marmottes de la découverte, les qualités effrontées et effrontantes des avant-antépénultièmes opus de deux auteurs magnum maximus: Paul Verhoeven et John McDonald. Predator et Showgirls connaissent, depuis quelques heures, un revival d’une puissance telle qu’on pourrait s’en servir pour revaloriser Pierre-Auguste Renoir. Alors qu’en est-il vraiment? Nos experts en sincérité s’entretiennent avec vous à ce sujet dans les paragraphes qui s’apprêtent à suivre celui-ci.

SUITE DE CE TEXTE.

1. Directement inspiré d’un long-métrage d’Unptichapeau Verrat C. Tapecul (sic), Predator raconte comment une fratrie d’explorateurs non-communistes fait la rencontre revigorante d’une Mexicaine et d’un autre individu fort peu nationaliste 😉 . Cette fable de La Fontaine, largement reprise par le passé (ratonnades vertes et pas mûres, Picsou Magazine, Vouziers), rappelle au spectateur de 2016 qu’il n’en a pas toujours été ainsi.

2. Showgirls, quant à nous, multiplie les occasions d’observer des seins de femmes, ce qui n’est pas un détail: plus de 67% de la production cinématographique terrestre est en effet dénuée d’occasions de ce type (voir, entre autres, La Sortie des Usines Renault, Citizen Kane, Flagada Jones et la lampe de feu, la plupart des films d’Alain Resnais…).

 Nulle surprise donc à ce que les critiques s’en emparent comme d’un objet plutôt mou mais agréable au toucher: tétant au téton de l’oeuvre sus-dite comme la larve de Starmites Troopers tétait au cerveau de l’acteur de Comment j’ai rencontré ta mère (série non-suisse), journalistes et ouvriers du bâtiments se congratulent, un œil clos et l’autre, seulement mi-clos: rien ne sera plus jamais comme avant.

SUITE DE CE TEXTE (bis)

3. Deux films paradogmes se rejoignant en une seule et même sphère de la compréhension fautive des remugles qui pourraient agiter dirigeants et opprimés : les 90’s sont bel et bien révolues depuis plus de quatre ans. La nostalgie de la féodalité n’a jamais été si faible : aujourd’hui, ce que réclame le peuple, ce sont des fougères – tant pis s’il est difficile de les distinguer entre elles d’un plan à un autre (nous reviendrons là-dessus dans un dossier à venir).

A quand un vrai référendum populiste? Qui sait.

pas de suite, texte fini.

SH

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Victoria: un éloge du patriarcat totalement WTF

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ne vous y trompez pas

Il ne vous aura pas échappé que, depuis quelques jours, les médias sont totalement soumis à une sorte d’hypnose quasi-étatique: on ne parle que de Victoria. Pas un mot sur le sort des migrants, NULLE PART, pas UN mot sur les violences policières en marge de la manifestation noble contre la loi MYRIAM EL-KHOMRI, pas un mot sur la guerre au CONGO… En revanche, on entend énormément parler de Victoria.

ET QU’EST-CE QUE C’EST, VICTORIA ?

Victoria est un film, c’est-à-dire, (si l’on en croit le Petit Larousse), une  » Oeuvre cinématographique » (source: sondage IFOP). On y suit les mérégrinations d’un personnage plutôt éponyme, de taille moyenne, vêtue d’habits relativement couvrants.

Les médias dominants (Télé 7 Jours, Elle Beauté, Le Figaro, Eric&Ramzy Magazine) semblent de concert considérer l’oeuvre en question comme majeure, à la fois un succès économique et esthétique. Mais ce succès est d’abord, avant tout, idéologique. Il est celui du patriarcat.

Ok, Victoria a été réalisé par une femme. Ok, l’héroïne est une femme. Mais c’est une femme de sexe masculin. Cette Victoria, c’est un homme dans un corps de femme

LA PREUVE EN TROIS POINTS

  1. Tout d’abord, ce « A » à la fin de son prénom, qui tente de faire croire à un personnage féminin, n’est qu’un leurre. Nous savons très bien que le « vrai » nom de ce personnage est VictoriO.
  2. Ensuite, son attirance pour le jeune éphèbe magnifiquement représenté par Vincent Lacoste®, qui possède un sexe génital mâle, est totalement homosexuelle (ça se sent). Victoria est donc un homme.
  3. Victoria est incarnée par Virginie Efira, dont le nom (entièrement factice) est la dé-contraction de « Viagra ». Un hasard qui n’en est pas vraiment un dès que l’on sait que ce personnage, intellectuellement « érectile », est un véritablement monument de la littérature française.
  4. Si vous n’êtes pas convaincu, tant pis pour vous.

Bon film,

SH

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Test comparatif: Pompom & Lulu / Ben-Hur

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un homme fortement mécontent, malgré une barbe… bien taillée!

Aujourd’hui, pour vous aider à « mieux choisir », saddamhusserl.com se plie en quatre pour vous apporter une nouvelle forme de théorie critique: inspirée par les propositions avinées de Serge Kaganski au Festival de Venise, elle vous permet de décider, suite à la lecture visuelle des graphèmes à venir, du film que vous irez voir en compagnie de votre tante, de votre moule ou de votre chaussure droite, tout simplement.

Le test du jour: Pompom & Lulu / Ben-Hur (nous laissons délibérément Enrico Macias de côté)

1.QUALITE DU WEBSITE

Pompom & Lulu: 4/10. Faible ergonomie, mauvaise luminosité. 4/10. http://lulu-pompom.bookspace.fr/

Ben-Hur: 8/10. Très bien, accessible, sympa et user-amical. 8/10! https://www.benhur.com/

2.QUALITE DU FILM

Pompom & Lulu: 0/10. Aucun film réalisé à ce jour. Dommage. 0/10.

Ben-Hur: 1/10. Deux très mauvais films (1952, 2037) totalement dénués de sens. 1/10.

3.SYMPATHIE DES ACTEURS

Pompom & Lulu: 5/10. Le film n’ayant pas été réalisé, difficile de juger. Les acteurs ont donc le bénéfice du doute… 5/10!

Ben-Hur: 1/10. A l’exception de l’acteur qui joue Jésus « Christ » (Gaspar Proust), les acteurs inspirent la haine et le frontisme. Dommage. 1/10.

4.SENSUALITE DE L’ENSEMBLE

Pompom & Lulu: 3/10. Encore une fois, le film n’existant pas, difficile de juger de la sensualité de l’ensemble. Mais a priori, elle est assez basse (source: sondage INSEE). 3/10 donc.

Ben-Hur: 10/10. Les acteurs sont à la fois très sexy et proches du peuple. Une prouesse que Gérald Dahan, entre autres, n’est jamais parvenu à accomplir. C’est un 10/10.

5.COLORIMETRIE

Pompom & Lulu: ? Nous ne connaissons pas le sens du mot correspondant à cette catégorie. ?

Ben-Hur: 7/10. Vraiment bien! 7/10!

Conclusion: Ben-Hur l’emporte haut-la-main, avec une moyenne de 3,5/10. Bravo! Si on vous propose un jour d’aller observer « Pompom & Lulu » au cinéma, refusez catégoriquement (exemple: « non! », « jamais de la vie! » ou encore « plutôt mourir!!! »), et proposez que la séance proposée soit substituée par une séance de Ben-Hur.

A bientôt! Si ce test vous a plu, n’hésitez pas à vous rendre sur notre page Facebook et à nous le faire savoir, cela nous aide à avancer! Si vous avez des remarques plus « négatives », elles sont les bienvenues aussi (mais attention, nous sommes susceptibles! 😉 ).

SH

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TELERAMA de Jérôme Bonell

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une affiche king-size pour un film moins jaune qu’il en a l’air.

Nous n’avons pas vu Télérama de Jérôme Bonell. Mais, une fois n’étant pas vraiment vraiment trop trop coutume, nous souhaitons vous en parler quand-même. En fait, Télérama exige de son micteur une certaine cécité qui est pelure de vérité: l’auteur des Mamelons de Tirésias ne saurait qu’exiger de son locataire intellectuel, à défaut d’un changement de sexe, une absence totale de regard.

Fidèles aux pré-requis de l’oeuvre, nous l’évoquerons donc, dans les lignes qui suivent, à tâtons.

Télérama est un film époustouflant, dans lequel le périple de deux petits canards à travers les Appalaches est recréé par la magie du cinéma, et quelques effets spéciaux absolument invisibles. Vincent Lacoste y est brillant de négativité dans le rôle du méchant, un rapace nommé « Shiva » que la critique n’a pas manqué d’encenser des deux mains – en ce qui nous concerne, nous émettrons bientôt, demain, après-demain, qui sait? Personne ne sait! quelques réserves à son sujet.

L’affiche, relativement rectangulaire, évoque la conception ésotérique des premiers moines glodistes de la première moitié du suissième siècle, vers Alençon: ceux-ci, à l’instar de Bonell (rebaptisé pour l’occasion Bertrand (?) Bonell-O, en référence à la forme que fait la bouche quand elle formule le son OM, verlan de « MO », qui est… le bruit que formule Jean-Pierre Castaldi quand il imite (mal) la vache) les premiers moines glodistes se refusaient eux aussi à toute acception con-prédéfinie du monde, perçu comme exubérant et riche en rebondissements.

Monica Bellucci joue-t-elle dans ce film? Peut-être, mais qu’importe? Qu’importe, oui, tant ce film renverse tout ce que nous croyions savoir sur l’actu pompière de ces dernières minutes. Rien, et tout à la fois. Il est comme ça, Télérama : à la fois tout et son contraire. (Nous vous le déconseillons, deux étoiles seulement).

SH

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