CR – THE HOUSE THAT JACK BUILT // TEUF NULLE

 

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des petits yeux ? l’air suspicieux

1h17 à Cannes et les rues sont désertes : vraiment bizarre mais bon OK. Nous rentrons donc à la gare de CANNES-SAINT EXUPERY pour écrire nos souvenirs érudits de la soirée Schweppes/Lars Von Trier, à laquelle nous avons eu la CHANCE de rencontrer PLUSIEURS des plus importants CRITIQUES de la décennie 2018/2019, qui nous ont tous #fourni leur critique du dernier FILM de Lars V. Trier, “The House that Jack Built” (le bâtiment confectionné par Jacques au Québec et au Libéria).

BILAN

IN THE PANDA

The house of Jack Billt

Le film est bon. Les acteurs jouent presque tous bien! C’est bizarre. Franchement on ne s’est pas ennuyé! Je recommande à mes fans, c’est juste une tuerie… au sens propre malheureusement!

 

AUGUSTIN TRAPENAR(D?)

New house of McBlitz

Le grand Danois a créé le Dogme à un moment! Pas vu ses films. Fête nulle.

 

MICHELLE BELPÊCHE

The mouse that Jack fuilt

J’adore ce réal!(isateur.rice) Il m’a rencontrée. Il reste du SCHWEPPES? Schwoups!

 

THEO RIBEVIANDE

Meuh house that Clark hilt

La claque! Dommage qu’il soit nazi mais enfin bon… Une étoile et demie.

 

THIERRY FREMO

The ass Jacques blip blip

Lars est un bon ami mais tout comme Augustin Trapenar(d?) je n’ai pas encore eu la chance de voir son film. D’où le choix de ne pas le sélectionner en compétition officielle. Très bonne ambiance cela dit il comprend tout à fait.

 

CHRONIC’ART

(?)

*absents*

 

EDOUI PLENEL

Neuhoff that Milk bouilgz

Nous avons préféré nous rendre à Cannes en tout incognito, merci de ne pas nous mentionner dans votre bilan.

 

JULIEN BLISTER

Donoma

Petite claque agréable, comme de se faire frapper par un enfant.

ADELE VAN CALMOS

The house that Jack HEYYYY

Très déçue par la scène où un enfant se fait enfoncer des clous dans le front : on voit très bien que c’est un front en polystyrène et que la musique est de Serge Lama.

 

CHILDERIC BEIGBEDER

Bill

Vive la Pologne

 

THOMAS PLAYMOBIL

The house playmobil

Mon nom exact est Thomas SOTINEL. Mais sinon j’ai trouvé le film pas mal, un peu éloigné de ce que j’attendais (j’attendais une comédie sur le thème du rangement) mais comme je suis quelqu’un d’assez souple [il effectue un écart facial, ndlr], je me suis débrouillé pour trouver ça bien quand même.

 

ANNA MOUGLALIS

The house that Jack built

Alors moi par contre le cinéma j’y connais rien donc dsl

JOHN PAUL JONES

John Paul Jones

Pas mal le moment où Matt Damon éternue sur la poitrine de Denise Richards HA NON JE CONFONDS avec Buffy contre les Vampires

MURIELLE JUDELAW

The building von Jackie Chan

Beaucoup d’admiration et d’amour pour le décorateur du film, Jean Yanne, qui a su mêler érudition et légèreté à un projet qui ne manquait pas de haha.

 

PIERRE LESCURE

Wo Hou dak Mak Hillehow

Une métaphore de la situation en Bretagne à la fois cohérente et totalement tirée par les cheveux

Bon voilà en gros c’est tout bonne nuit

A demain pour la projo du Gastambide

SH & JCF

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CANNES AH MERDE IL PLEUT : IL MOUILLE (chronique météo)

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chacune de ces personnes est composée de 66,666% d’eau minérale

 Le ciel mouille. Rien de sexuel ici, nous ne faisons qu’énoncer une constatation humide, comme en témoigne notre visage quand nous le dirigeons vers le haut (ie. le ciel) en écartant les bras après avoir déchiré notre chemise (en vrai notre t-shirt) (en vrai nous n’avons pas réussi à le déchirer et nous sommes juste fait un pinçon à l’aisselle) (mais nous avons vraiment les bras écartés) (en vrai nous sommes dans la salle de la Quinzaine).

Les critiques s’adaptent un peu comme ils peuvent. Clément Méric* (*les prénoms ont été modifiés) s’est procuré un parapluie pour la modique somme de 8,15€. Théophile de Viau, lui, est allé dans un kebab pour proposer à une serveuse couverte de viande de s’abriter entre ses cuisses (elle a dit non, mais ensuite elle a dit merci, donc elle a dit non merci). Quant à Mirabelle Stylé, elle a ressorti son vieux magnétoscope et regarde des vieilles VHS de l’après-midi du 11 Septembre 2001 sur France 2 (contactée par nos soins, elle a reconnu trouver ça lassant et répétitif).

Quant à Picorer Theillard de Chardin, il s’est rendu à RTL pour discuter mitochondries avec un idiot. Etonnant comme la vie trouve toujours un moyen de s’adapter aux moindres des variations météorologiques ! Et Thierry Frémaux, lui ? Il n’est pas critique, donc on s’en fout. Bonne soirée

SH

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CANNES AH PAIX (lit) : InThePanda, Durendal & la critique ciné à l’heure d’internet

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pour un Kurdistan libre toujours évidemment

Cannes, c’est l’occasion de voir des films, de niquer des gens, de boire de l’alcool gratuit, mais c’est aussi et peut-être un petit peu moins l’occasion de rencontrer des gens importants tel que Patrick DURENDAL

-Bonjour

-Ta gueule laisse-nous finir l’intro

Et Charles-Jambes @InThePanda, tous deux grands « influenceurs » pour parler comme les jeunes femmes de demain. Bonjour à tous les deux

-Bonjour

-…

-Ah ben tu boudes Patrick du coup

-Ecoutez, j’ai vraiment autre chose à foutre

[Durendal a accepté de répondre à cette interview dans la mesure où nous lui avons promis de ne pas révéler qu’il était en réalité rédacteur en chef à TRANSFUGE et s’était pris un râteau par une mule quand il avait 8 ans, il est donc tenu de rester jusqu’à la fin ndlr]

Notre première question est pour vous InThePanda : êtes-vous intelligent ?

-Alors, bonne question. Je dirais que oui, en effet j’ai eu le bac avec 13,2 de moyenne

-Merci beaucoup, notre deuxième question : êtes-vous vraiment intelligent ?

-Excellente question, j’aime bien Truffaut alors que c’est naze, ma réponse serait donc plutôt non.

-Ah, intéressant ! Dernière question avant la suivante : êtes-vous vraiment, vraiment intelligent, genre sérieusement, pour de vrai ?

-Bon ok bas les masques : j’avoue, je suis super con

-Comme par hasard !

-Eh oui.

-A nous deux Patrick : vous faites des vidéos depuis l’âge de un an, aujourd’hui vous en avez quatre, diriez-vous que votre travail a évolué depuis vos débuts ?

-Non pas trop.

-Et vous, êtes-vous intelligent ?

-Oui et non.

-Mais si on vous oblige à choisir en vous claquant une pince à linge sur la pine ?

-Je réponds oui.

-Mais si en plus on vous menace de vous gifler et d’appeler votre mère ?

-Alors là je réponds non.

-On est d’accord. Merci, ce sera tout pour aujourd’hui, vous pouvez sortir ! Attendez d’être sur la Croisette pour ôter le sac plastique de votre tête merci.

 Voilà, quant à nous nous filons à la Quinzaine de la Critique pour découvrir TERET d’OGNJEN GLAVONIC, qui est totalement pompé sur le dernier Sharunas Bartas mais bon on fera semblant de pas s’en rendre compte !

Gros bisous et n’oubliez pas s’il y a plein d’enfants en Afrique c’est parce que les Africains sont de gros lovers

SH

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CANNES A PESHMERGA : POURQUOI / QUELLE SIGNIFICATION

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un bon petit lot de narines

Bonjour, merci d’avoir cliqué

Ce titre pour vous signaler que nous nous situons actuellement au festival de Cannes, ce qui ne nous empêche pas de soutenir un Kurdistan LIBRE, mais surtout de revenir sur les propos de Thierry Frémaux, habituellement gros baltringue de son état mais hier dans un état de lucidité suffisamment rare pour qu’on revienne dessus.

Commençons par le citer entre guillemets, tout en nous déguisant en danseuse étoile à la fin de cette phrase afin de rédiger la suite de cet article dans un accoutrement rigolo :

« Les séries, c’est industriel. Le cinéma, c’est de la poésie. »

Nous venons littéralement de réfléchir 4h aux implications de cette citation digne d’un sujet au CAPES de Putes Modernes en 2008, mais au moment où nous allions rendre notre copie Jérôme Garcin est arrivé à quatre pattes, l’a broutée en nous insultant la bouche pleine, puis s’est enfui pour chier dans une flûte du bar de la Quinzaine. Nous ne pouvons donc que vous retranscrire brièvement les conclusions auxquelles nous étions parvenu.e.s.

  1. Oui, en effet, les séries, c’est industriel. Car dans une série il y a plusieurs épisodes. Or « plusieurs » signifie « beaucoup », et « beaucoup » signifie « non-peu ». Dans un monde où tout se consomme à gogo (cf. pub Afflelou, Flunch, Renault, MSF), la rareté est ce qui fait la valeur d’une chose. Donc une série a beau n’être qu’une seule série, elle a moins de valeur qu’un film car elle est composée de plusieurs épisodes. Alors qu’un film n’est composé que d’un seul épisode généralement, sauf dans le cas des films en plusieurs épisodes que nous choisissons de ne pas aborder par commodité conceptuelle.
  2. Oui, en effet, le cinéma c’est de la poésie. En effet², la poésie, c’est l’art du petit mot, de la brièveté, de la concision. Qui dit poésie dit un seul mot (le mot « poésie »). Alors que qui dit « série » prononce généralement d’autres mots après (le plus souvent « épisode »). Alors que le mot poésie se suffit à lui-même… Faites le test : dites « poésie ». Voilà. Vous n’avez prononcé qu’un seul mot. Pourtant ce n’est pas là que nous voulions en venir.
  3. Pour revenir à proximité de notre sujet donc, le cinéma est en général l’équivalent d’un seul mot… Si, puisqu’il n’y a qu’un seul film dans un film alors qu’il y a plusieurs séries dans un épisode – EUH NON pardon il y a plusieurs épisodes dans une série… Un truc comme ça. Alors qu’il ne peut pas y avoir plusieurs épisodes dans un film. Il peut y avoir plusieurs scènes dans un film mais ce n’est pas pareil. Une scène raconte un truc alors qu’un épisode raconte plein de trucs. Donc bon.
  4. Donc non ce n’est pas pareil puisqu’en plus une scène dure entre 1 et 36mn alors qu’un épisode dure entre 18 et 86mn (source : compte Twitter de Jacques Lourcelles). Et il y a un générique et des pubs en plus donc vraiment ce n’est pas de la poésie haha ! Alors que le cinéma il y a un générique et des fois des pubs (quand on regarde sur France 2) mais au moins c’est de la poésie. Vu que c’est subdivisé en scènes et pas en épisodes. Vous suivez ou vous suivez pas ? Sauf pour les films subdivisés en chapitres que nous n’aborderons pas par commodité conceptuelle. C’est bon vous suivez ?
  5. En plus vraiment le cinéma c’est de la poésie parce que c’est bien filmé… Alors que les séries c’est un peu plus moins bien filmé !! Vu que c’est un peu moins de « l’art », quoi, au sens où on l’entend dans les musées par exemple, comme Orsay ou le Louvre. Ou Franprix. Par exemple on ne peut pas exposer une série dans un musée eh non… Alors qu’on peut exposer un film comme par exemple à la Cinémathèque Française de France qui est un musée. On ne peut pas projeter une série parce qu’il faudrait que les gens campent à la cinémathèque or quand ils font ça il y a des CRS qui viennent leur uriner dessus et après qui c’est qui nettoie le pipi ?!! C’est des immigrées mal payées. Donc non ce n’est pas de l’art.
  6. Alors que donc oui la poésie c’est de l’art et le cinéma ce n’est pas des séries et il y a des subdivisions en scènes mais ce n’est pas pareil et c’est donc moins bien donc oui. Au revoir mettez-nous 08 SVP

SH

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Table ronde : notre top-100 des meilleurs films découlant plus ou moins directement de LA MOUCHE de David Sodenberg

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houk houk

 Bons baisers de Mykonos ! La rédaction de saddamhusserl.com s’est pris quelques petites minutes de vacances à l’autre bout du monde du point de vue bolivien tandis que Christian Charmetant s’occupait du ménage à la rédac (c’est ce que nous lui réservions comme surprise à lui qui pensait vraiment qu’on lui laisserait les commandes du site, ha le con !).

Pas besoin de sondage pour savoir que notre lectorat est constitué de voyeuristes.stes et autres auditeuristes.herbe et c’est par la présente que nous vous restituons le bruit produit par nos échanges verbaux actuels.

SADDAM HUSSERL : Hey bonjour

JEAN-COOL FART : Pourquoi tu me dis bonjour ça fait une heure qu’on discute

SADDAM HUSSERL 😦

JEAN-COOL FART : Lol modéré. Car les coups de la vie nous apprennent la mesure. Exemple: nous pleurons seulement une moitié d’heure par heure.

SADDAM HUSSERL : Ah c’est vrai, je vois ce que tu veux dire, d’ailleurs je suis triste aussi regarde l’air mitigé avec lequel je

JEAN-COOL FART : … votre phrase est terminée?

SADDAM HUSSERL : oui

SH & JCF

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